• Extrait du livre « Bréviaire de l’homme d’action »

    De François Garagnon.

     

    L’art de vaincre

     

    « L’action se nourrit du miel de l’orgueil  butiné sur les fleurs de la puissance. »

     

    « La réussite n’est pas donné à celui qui connaît le mieux,

    Mais à celui qui y croit le plus. »

     

    « Si tu es sûr d’être sur la bonne voie, ne crains pas les détours du sentier, les ronces qui l’envahissent par endroit, les abîmes que tu côtoies, les obstacles qui te font trébucher et ralentissent ton ascension. Surtout, ne crains pas de cheminer seul sur ce sentier, car si tu es seul, c’est qu’il est difficile. Et c’est par les sentiers difficiles qu’on peut prendre de la hauteur et parvenir aux plus hautes montagnes. »

     

    « Il n’est pas interdit de passe la nuit dans la maison  de l’espoir. A  condition de ne pas oublier de se remettre en route dès le matin sur les chemins de la réalité. »

     

    « Ne te morfond pas sur tes échecs. Il se pourrait bien que ce soit en eux que tu puises les ressources de réussir. »

     

    « La volonté peut manquer de souffle si les circonstances ne lui apportent par les vitamines nécessaires. »

     

    « Persister est parfois aveugle,

    Remettre est parfois raisonnable,

    Abandonner est toujours regrettable. »

     

    « Pour résoudre un problème, il faut d’abord l’admettre, puis le soumettre, et enfin le démettre. »

     

    « L’espoir est une petite flamme miraculeuse qui, même les jours de tempête, semble vaciller sans jamais s’éteindre. »

     

    « Il y a tous ceux qui discourent sur ce qu’il faudrait faire.

    Il y a tous ceux qui discourent sur ce qu’il aurait fallu faire.

    Il y a tous ceux qui discourent sur ce qu’ils feraient si cela ne tenait qu’à eux.

    Et puis il y a celui qui ne discourt pas, et qui fait ce qu’il a décidé de faire. »

     

    « Si tu veux faire tomber un ennemi, flatte –le dans son acquis : il finira par ne plus songer à conquérir. »

     

    « On ne force pas son destin, on le rejoint. »

     

    martinique 9
     
    Martinique

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  • Extrait du livre « Bréviaire de l’homme d’action »

    De François Garagnon.

     

     

    L’art de l’audace et de l’efficacité.

     

    « On devrait méditer plus souvent sur la célèbre devise des alchimistes : « Vouloir, Savoir, Oser, Se Taire. »

     

    « La vie n’est pas réglée comme une administration. Ce ne sont pas des formulaires  tout prêts qu’il t’est donné de remplir, mais des journées inédites. »

     

    « Le mobile d’action du pauvre, c’est l’instinct de survie.

    Le mobile d’action du riche, c’est l’instinct de domination. »

     

    « Ne t’attache pas trop à ce qui a été. Ne t’attache pas trop à ce qui pourrait advenir. Les souvenirs et les espoirs ne font pas la réalité présente. Attache-toi surtout à ce qui est. »

     

    « Quand l’enthousiasme puise sa sève dans la foi, il donne toujours des fruits. »

     

    « Rien ne sert de pouvoir si l’on n’agit pas.

    Rien ne sert d’agir si l’on ne le peut pas.

    Réussir exige tout à la fois de l’audace et de la prudence. » ( à suivre...)

     

    FORUM  (11)

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  • Extrait du livre «  Conquérir sa liberté intérieure »

    D’Anselm Grün

     

    Les blessures sont la part de tout homme. Il y a naturellement dans ce monde beaucoup de choses que nous ne pouvons pas changer, des souffrances que nous ne pouvons pas supprimer. Mais il nous appartient de décider si nous voulons rendre nos blessures plus aiguës en nous blessant encore nous-mêmes. Anselm Grün, bénédictin, introduit ses lecteurs et lectrices à l'art de ne pas se rendre la vie inutilement difficile. Il arrive àcette conclusion : la voie chrétienne est toujours une voie de liberté. Un cheminement spirituel et mystique justement compris aide toujours àrester maître de sa vie.

     

    « L’expérience de la liberté intérieure détermine aussi notre conduite envers les autres et envers Dieu. Dans ses relations à l’autre, l’homme a besoin de trois vertus : la netteté ou la limpidité, la fidélité et surtout la pudeur. Dans sa relation avec les autres, chacun doit découvrir et développer sa propre individualité : « Car, en vertu de la position qui lui a été attribuée dans le drame de ce monde, chacun ne devrait-il pas jouer un autre rôle ou accomplir une autre tâche sur le bateau de la vie ? Chaque individu est unique et doit trouver sa place, reconnaître le rôle que Dieu lui a assigné dans le drame de ce monde. » (Epictète)

     

    « Nous ne voyons pas la réalité de façon objective, mais toujours à travers des lunettes particulières. Nous projetons souvent nos attentes inconscientes ou nos craintes dans les choses. C’est ainsi que nous voyons les personnes qui nous entourent à travers les lunettes de notre projection. Nous projetons sur eux nos défauts et interprétons de manière erronée leur façon d’agir. » (Epictète)

     

    « La liberté consiste en ceci : savoir où sont nos frontières, faire clairement la différence entre ce qu’est un autre et ce que nous sommes. »

     

    « C’est seulement dans la liberté que je fais l’expérience de ma dignité d’homme. M’adapter continuellement pour être bien vu des autres et pour atteindre des échelons plus élevés dans la carrière me prive de ma liberté ainsi que de ma dignité. Cela me déformera et me rendra malade physiquement et spirituellement. »

     

    « Notre amour vient souvent non pas d’une liberté intérieure, mais de la pression de devoir faire du bien à tout le monde et être bien vu de tous. Et cette pression se transforme souvent en migraine. Quand notre amour a sa source dans la liberté intérieure, nous n’éprouvons alors normalement, aucun mal de tête. Le corps est un loyal indicateur qui nous éclaire sur l’authenticité de notre liberté ou nous informe que notre engagement est déterminé par des exigences extérieures, par le besoin d’être bien vu et reconnus par la peur de décevoir les autres et de perdre ainsi leur soutien. Si notre amour provient de nos propres besoins et de l’attente impérieuse des autres, nous allons alors nous blesser nous-mêmes. Ce sont les fausses idées que nous avons de notre ministère, et non ce ministère en soi, qui nous blessent. »

    « Il y a des souffrances devant lesquelles je me trouve tout simplement sans paroles. Je dois d’abord m’incliner avec respect devant la souffrance humaine et je m’interdis quelque interprétation que ce soit. Je garde le silence. Je prends la souffrance au sérieux et je partage ce que j’éprouve avec la personne qui me confie sa misère. Puis je réfléchis à la façon dont l’autre peut se comporter avec sa douleur. 

    Si je m’arrête à la compassion, cela peut pour un temps, soulager l’autre, mais ne l’aidera pas par la suite. Je cherche donc avec beaucoup de prudence à l’orienter vers le domaine intérieur, qui même dans une maladie aussi humiliante que l’épilepsie, n’est pas touché : j’essaie d’attirer son attention sur la dignité sacré qu’aucune maladie, si horrible soit-elle ne pourra détruire. Mais je dois le faire avec beaucoup de ménagements et de délicatesse et d’abord saisir la souffrance dans toute sa gravité et m’en laisser imprégner. »

     

    « L’amour de Dieu peut être comme un bouclier contre la méchanceté de ceux qui cherchent à nous faire du mal. Cet amour est plus fort que toutes les menaces qui nous viennent de l’extérieur. »

     

    « La grâce de Dieu a un effet pédagogique ; elle nous enseigne à vivre dans la vérité et nous initie à l’art d’une vie saine ; elle construit et façonne en nous des hommes selon la volonté de Dieu, des hommes véritables. »

    « La relation à Dieu nous met en contact avec notre source intérieure à laquelle nous pouvons sans cesse puiser parce qu’elle ne tarit jamais. Cette relation fait vraiment de nous des vivants. Elle nous fait don de ce que l’évangile de Jean appelle « vie éternelle », vie véritable, plénitude de vie. » (Fin)

     

    Château de Brézé. (64)
     
    Photo Renal 2013

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  • Extraits de « Merci ! Merci »

    D’Anselm Grün

     

    « Seule celui qui sait recevoir peut remercier. Mais cette capacité à accepter fait de plus en plus défaut aux hommes aujourd'hui. Ils ont l'impression de devoir tout mériter, ne serait-ce qu'un cadeau, en répondant aux attentes de celui qui l'a offert ou en marquant leur droit. Le volontariste, qui pense devoir tout faire lui-même, est incapable de dire merci. Car dire merci nécessite une attitude d'accueil : pour recevoir quelque chose, il faut avoir les mains vides et le cœur ouvert. Celui qui satisfait lui-même tous ses besoins ne peut plus rien recevoir. On ne peut plus rien verser dans un verre plein.

     

    Beaucoup d'hommes sont toujours sous pression, comme si leur verre devait toujours être plein... Ce qui ne leur permet plus d'être attentifs à !a merveille de l'amour qu'on aimerait leur exprimer. »

     

    « Souvent je rencontre des personnes tout juste capables d'accepter un compliment ou même un remerciement. Quand on les félicite, elles se sentent diminuées et pensent qu'ils n'y sont pour rien: «Ça ne vaut pas la peine d'en parler», ce qui met dans 'embarras celui qui les félicite. Or, en définitive, elles en voudraient encore! J'ai toujours été touché que quelqu'un me réponde simplement «merci» à un compliment: il exprime ainsi la joie que lui procure cette louange. En même temps, il me fait comprendre qu'il la redonne à Dieu, cause de toute réussite. »

    « On peut accepter un compliment avec reconnaissance si on sait que, finalement, rien ne relève de son propre mérite, que tout est don, mais qu'en même temps, on reconnaît sa part de réussite et on s'en réjouit. »

    « Celui qui regarde la journée écoulée avec gratitude ne s’irrite pas, mais tout devient pour lui source de joie et de paix. »

     

    « La gratitude ne retient pas le passé ; elle ne fuit pas non plus le présent. Elle intègre le passé au présent, pour me permettre d'accueillir et de vivre l'aujourd'hui. »

     

    IMG_8859

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  • Extraits de « Merci ! Merci »

    D’Anselm Grün

    « Je ne suis capable de remercier que celui qui donne avec respect. S’il me fait comprendre qu’il est le grand bienfaiteur et que moi, je suis un pauvre hère tout juste bon à tendre la main avec gratitude, j’ai du mal à le remercier ! Ou si on chercher à me rendre dépendant, je ne tiens pas à dire merci. La gratitude suppose que l’on respecte celui à qui l’on donne. Dieu nous offre ses dons parce que « nous avons du prix à ses yeux » A notre tour, nous devons toujours donner en respectant le mystère de l’autre. »

     

    « Aujourd’hui, l’esprit de revendication se développe partout. Il empêche la mémoire de fonctionner en vue de la reconnaissance. Mais cela ne rend pas heureux ! Seul l’homme reconnaissant est satisfait, comblé. »

     

    « Celui qui s'efforce d'avoir un regard de gratitude sur les hommes qu'il a rencontrés dans sa vie verra comme cela est bon et comme il a déjà beaucoup reçu dans sa vie. »

    « Celui qui se sent accepté n’a pas besoin de sortir ses griffes. Il est libre de vivre en montrant ce qu’il y a de bon en lui sans crainte d’être piétiné par les autres. »

    « La gratitude m'ouvre les yeux sur ma propre valeur.

    En effet, il n'est pas si simple d'être reconnaissant pour ce que 'on est. La tendance au rejet de soi-même est trop profonde en nous. Nous voudrions avoir un corps différent, d'autres dons, d'autres sources d'épanouissement. Mais lorsque nous regrettons ce que nous n'avons pas, nous devenons incapables d'être reconnaissants pour ce qui nous est donné. Or, la gratitude exige de quitter ses illusions sur ce que l'on devrait être. C'est alors seulement que je peux rendre grâce pour ma façon de penser et de sentir, pour mes mains, si agiles et délicates, pour mon corps, qui ne correspond peut-être pas à l'idéal esthétique de la mode actuelle, mais que mon âme se plaît à habiter. »

    « La gratitude me conduit à être en accord avec moi-même et à éprouver la joie profonde d'être tel que je suis. »

     

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    Photo A.PEYROT

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  • Extraits de « Merci ! Merci »

    D’Anselm Grün

     

    « L’homme reconnaissant pense avec le cœur. Il a conscience de ce qui lui est offert chaque jour. Un homme vrai ne connaît pas l’ingratitude. L’ingrat, lui, ne pense pas à ce qui lui est donné jour après jour, il oublie. C’est pour ça le philosophe romain, Cicéron a qualifié l’ingratitude d’oublie.

    L’ingratitude est toujours une sorte de faiblesse. Je n’ai jamais vu que des hommes courageux aient été ingrats. »

    La gratitude est le propre de l’homme. L’ingrat n’a pas atteint sa pleine maturité humaine. »

     

    «  Seules les personnes douées de reconnaissance peuvent se lier d’amitié et savent vivre en commun. Les ingrats sont des hommes déplaisants, avec lesquels on préfère ne rien avoir à faire. Près deux, on se sent mal à l’aise parce qu’on a le sentiment de ne jamais pourvoir les satisfaire. Alors on se tient à distance, car ils créent une atmosphère négative et destructive. »

     

    « La gratitude est d’abord un regard porté sur ce qui a de la valeur dans ma vie. Elle veille à ce que rien de précieux ne se perde. »

    (Anselm Grün)

     

    Château de Brézé. (43)
     
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  • Extrait de « Trésor de la sérénité »

    D’Anselm Grün

    « Libérés des pensées de jugements, nous apprenons à avoir confiance en nous et en les autres.

    Etre soi, autonome, serein."

     

    « Une personne sereine ne perd pas facilement son calme, ne se laisse pas influencer quand elle a  une vue claire sur les choses, mais son point de vue n’est ni rigide, ni immuable : elle n’a rien d’un pilier de béton, elle est comme un arbre agité par le vent, mais bien enraciné. Devant un vieil arbre aux puissantes racines, je ressens sa force, je conçois ce qu’est la sérénité. Au gré des bons et des mauvais jours, l’arbre continue de grandir, même si les éléments se déchaînent autour de lui. »

     

    « Quand on a de bonnes racines, on repose en soi-même, on est capable de sérénité. »

     

    « Tous les Sages de toutes religions sont d’accord sur ce point : Vivre dans la sérénité, c’est aborder tout ce qui vient à nous dans une harmonie intérieure. »

     

    «  Je ne dois pas constamment changer des choses en moi » nous avons beaucoup de bon en nous, qui ne demande qu’à surgir et à se développer. C’est le secret de la paix intérieure

     

    « Une âme sereine permet-elle d’aborder les autres sans préjugés, gratuitement, avec amour et justesse. Et cela porte ses fruits. »

     

    Le plus difficile, c’et de se détacher de soi-même. Il faut bien dire que notre ego veut se mêler de tout…. Quand je parle, mon égo m’empêche de dire ce qui monte de mon cœur, ce qui fait que souvent, je parle pour obtenir quelque chose, pour me faire remarquer, pour répondre à des attentes. Tandis que la sérénité laisse de l’espace à ma réalité profonde. Elle laisse régner la vérité. Quand mon esprit est serein, je permets aux choses d’exister, simplement. Sans vouloir les plier à ma propre vision de la réalité. Faire lâcher prise à l’égo en pensée, en parole et par action, est un devoir constant.

     

    Quand j’arrive à maîtriser mon égo, j’accède peu à peu à la sérénité, qui est source de Paix, de Liberté et d’Amour. » (Fin)

     

    Château d'Azay-le-Rideau (41)

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  • Extrait de « Trésor de la sérénité »

    D’Anselm Grün

    « Il faut du temps pour faire sereinement les choses. La sérénité a besoin de temps. Elle ne supporte pas la précipitation. Il faut du temps pour s’engager dans un dialogue ou une rencontre. Se donner du temps, c’est tout le contraire de ne pas perdre de temps, c’est refuser de se soumettre à la pression. C’est sortir de son emprise, prendre conscience du temps qui s’écoule, le savourer. Le temps nous est offert. Il n’y a qu’à renoncer à tout régler à la minute. »

     

    « Goûter le temps qui passe. C’est un cadeau qui n’appartient qu’à Dieu et à moi, pendant lequel je m’appartiens. »

     

    « Etre serein, c’est reposer en son cœur profond. Souvent, nous nous laissons arracher à ce centre de notre être : nous nous irritons pour de petites choses sans importance, nous sommes distraits, tout occupés des autres, et nous les laissons nous déterminer. Être  serein, c’est aussi regarder les autres, sans les juger, les laisser être tels qu’ils sont, et même se réjouir de leur différence. Ce point d’ancrage, en nous, permet de rester nous-mêmes, de ne pas céder aux pressions, ni d’être tiraillés par les avis, les attentes et les jugements d’autrui. »

     

    Il faut de la sérénité pour découvrir son moi profond, où nous pouvons nous recentrer, nous trouver nous-mêmes, loin de toute pression extérieure.

     

    « Libérés des pensées de jugements, nous apprenons à avoir confiance en nous et en les autres.

    Etre soi, autonome, serein."

    Château de Brézé. (42)
     
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  • Extrait de « Trésor de la sérénité »

    D’Anselm Grün

     

    « Celui qui s’agrippe à la vie est incapable d’en jouir vraiment : il doit s’acharner à conserver sa santé, ses biens, sa réussite. Il confond  la vie et ce qu’il possède. Or que cherche la vie ? La vie veut se répandre, la vie veut tout envahir. Et cela n’est possible que si nous nous laissons aller dans le flot de la vie.

     

    Se sentir bien, unifié réussir sa vie : ce que permet le renoncement à nos idées préconçues, pour dire oui à la vie, pour dire oui à la bonne nouvelle de l’Evangile.

     

    « Etre abandonné par quelqu’un, cela fait mal. Mais abandonner notre égo, cela rend libre. L’art de vivre consisterait même à savoir abandonner ses blessures ; on n’y parvient qu’en ayant la certitude que Dieu est là, qu’il est toujours possible de s’appuyer sur lui. Et il faut de la confiance pour quitter son égo, avec toutes ses opinions et ses jugements, mais sans jamais se défaire de son être véritable.

     

    « Je ne me laisse pas « tomber ». Je peux  compter sur moi, ce noyau au plus profond de moi-même qui n’est ni blessé ni altéré.

     

    « Mourir à soi-même, c’est pour vivre vraiment. En se détachant des choses et de nos carapaces, on découvre qui on est en vérité. »

     

    Abbaye de Fontevraud (26)
     
    Photo renal

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  • Extrait de « Trésor de la sérénité »

    D’Anselm Grün

    « Quand je suis  serein je suis sensibles aux  émotions, mais elles ne me conditionnent pas. J’utilise mes passions, mais ne me laisse pas dominer par elles. »

     

    « Lutter continuellement contre ses passions, c’est tomber dans une obsession qui empêche de s’en libérer. Réprimer ses besoins, c’est en fait s’en préoccuper constamment. L’art de vivre consiste précisément à prendre conscience de ses passions, de ses besoins, de ses émotions, et de les laisser exister telles qu’elles sont, mais sans s’identifier à elles : être conscient de sa colère, mais ne pas y céder. « Je perçois l’angoisse qui monte en moi. Mais le point en moi, d’où j’observe cette angoisse, n’en est pas infecté. 

    Il suffit de se dire : J’ai peur, mais je ne suis pas ma peur.

    J’ai des problèmes, mais je ne suis pas mes problèmes.

     

    « Il faut, pour trouver la sérénité véritable, lâcher son ego, avec son cortège d’illusions.  C’est ainsi que j’accède à la liberté intérieure. »

     

    « Nous avons besoin de prendre du recul vis-à-vis de notre égo pour trouver notre véritable moi, pour être en harmonie avec nous-mêmes. »

     

    Abbaye de Fontevraud (21)
     
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  • Extrait de « Trésor de la sérénité »

    D’Anselm Grün

     

    La sérénité,n’est-ce pas ce à quoi chacun de nous aspire ? Cette attitude où l’agitation n’a pas de prise sur nous : c’est le fruit du détachement de la liberté intérieure, quand nous sommes délivrés du stress de devoir faire tout à la perfection… Aller en réunion sans être écrasé par l’angoisse. Cesser de me préoccuper sur la façon dont le rendez-vous, la rencontre ou l’examen peuvent se dérouler. Lâcher prise, sans plus me demander comment les autres me perçoivent, comment faire tout sans faute : lâcher prise, et se laisser conduire par ce qui advient.

    Il s’agit pour moi d’être libre dans le moment présent,

    Disponible pour ce qui se présente.

     

    Abbaye de Fontevraud (24)
     
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  • Extraits de « La joie de la rencontre »

    D’Anselm Grün

     

    « Bien souvent, lors d’une rencontre, nous ne prenons pas conscience de l’autre dans ce qu’il est d’unique. Nous le figeons par notre façon de voir. Cela empêche la véritable rencontre.

    Une rencontre ne réussit que si je prends le temps d’écouter l’autre. Qu’est-ce qui l’anime ? Quel est son désir ? Alors je suis disponible à l’autre et à moi-même. »

     

    « La rencontre échoue lorsque nous ne regardons pas l’autre. Nous passons à côté de lui, sans lui prêter attention.

    Polarisés sur nos problèmes, nous ne voyons pas les besoins de l’autre. Nous le blessons. Une rencontre vraie exige le courage de nous commettre avec le prochain. »

     

    « Une vraie rencontre ne condamne pas, elle ne juge pas. Elle provoque au contraire ce qu’il y a de bon en l’autre. Elle le fait toucher le bon fond qui est en lui. Au lieu de vouloir transformer l’autre, elle l’accepte sans conditions. Et c’est justement cette expérience d’être accepté qui permet à l’autre de changer.

    Le mépris et les jugements de valeurs poussent à la dureté, à des conduites de dominations par la possession. La rencontre confiante peut tout transformer. »

     

    « La vrai rencontre crée un espace où l’autre peut se mouvoir en toute liberté. Tant que nous voulons changer l’autre, il se raidit sur ses comportements. Il se justifie. Une rencontre juste est toujours empreinte de confiance en la bonne nature de l’autre.

    Une rencontre peut faire des merveilles : faire surgir le bon fond de l’autre et libérer en lui des façons d’être que l’on n’aurait jamais soupçonnées. » (Fin)

     

    Château d'Azay-le-Rideau (20)
     
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  • Extraits de « La joie de la rencontre »

    D’Anselm Grün

    « Les femmes âgées sont souvent passées maître dans l’art de la rencontre. Elles n’ont plus rien à perdre. Elles sont au-dessus de la pression de devoir prouver ou  représenter quelque chose. Elles sont elles-mêmes, tout simplement, libres de toute attente pressante. Nous pouvons être reconnaissants lorsque nous rencontrons une femme avisée, qui voit au-delà des apparences et atteste qui nous sommes en vérité.

    Une telle rencontre laisse en nous une profonde impression. Et nous prenons conscience de ce que nous sommes. »

     

    « Une véritable rencontre est invitation à me remettre en question et à me laisser transformer. Si je l’aborde avec des images et des idées toutes faites, elle est vouée à l’échec.

    Si je ne quitte pas le vieil homme en moi, je ne puis rencontrer vraiment autrui ni me laisser surprendre par l’inconnu. D’une vraie rencontre, je repars différent. »

     

    « Lorsque je rencontre l’autre sans préjugés, la nécessité de changer m’apparaît clairement. Cela ouvre la voie à un nouveau départ. »

     

    « La rencontre amoureuse, si elle renonce à dominer, si elle honore et respecte, fait naître une relation dense, un amour pur qui coule au fond des âmes. »

     

    « La rencontre la plus profonde que nous puissions expérimenter est la rencontre avec Dieu. Nous pouvons faire faire l’expérience de Dieu dans le silence ou dans la prière. Nous pouvons le rencontrer dans la beauté de la création. Et parfois, nous pouvons aussi le voir rayonner sur le visage d’un homme. » (A suivre....)

     

    Château d'Azay-le-Rideau (35)
     
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  • Extraits du livre « Petit trésor »

    Souvenirs tout à fait irrésistibles d’un petit garçon de Sept ans.

    De François Garagnon

     

    « Quand on apprend à lire, on perd quelque chose+, un grand  quelque chose même. On comprend tout ce qui est écrit, alors il n’y a plus de mystères. Et c’est vraiment dommage. Car les mystères c’est tellement profond ou tellement haut qu’on ne peut aller au bout, et donc le monde paraît beaucoup plus géant que quand on explique tout. »

     

    « D’ailleurs, à ce qu’il paraît, quand on va poser une question au bon Dieu, ce n’est pas la peine d’attendre une réponse : il n’en donne jamais. Sa réponse, c’est une graine de silence qu’il dépose dans notre cœur pour faire naître une fleur. Quand on commence à ressembler à un champ de fleurs, alors c’est la grande joie parfaite des amoureux de Dieu. »

     

    « Une famille, c’est un peu comme un puzzle : quand il manque une pièce, l’image n’est pas complète. Et quand c’est dans le cœur que l’image se passe, hé bien ça veut dire que s’il nous manque quelqu’un, on ne peut pas être heureux complètement. »

    «  J’ai compris qu’en ouvrant un livre, on découvre pas seulement une histoire, mais un nouveau monde. Et c’est pour ça que les livres, c’est aussi important que les amis. »

     

    « Il avait de l’amour à revendre, Jésus, c’est peut être bien pour ça qu’il avait les moyens de racheter tous les péchés du monde !! Enfin, heureusement qu’il avait des centaines de réserves  de pardon, parce que franchement ça devrait être drôlement décourageant pour lui de toujours montrer la direction du bonheur et de voir les hommes lui tourner le dos et  partir de l’autre côté ! »

     

    « Jésus, c’est le seul homme tout rempli de lumière, qui soit vraiment ivre de vivre, à faire chanter le silence jusqu’à la fin des temps. »

    « Ouvre tes volets dans le matin et soleil y entrera.

    Ouvre ton cœur tout grand et l’amour l’envahira. »

     

    « Maman, on dirait que son métier à elle, c’est de ravigoter les jours après les jours en mettant une pincée d’amour-toujours, en versant dessus de la crème de tendresse, en badigeonnant de patience et de silence de connivences, en saupoudrant avec quelques éclats de fous-rires et en faisant revenir le tout avec de la joie pour que tout son petit monde n’oublie pas la saveur. » Fin

     

    douceur11092
    Photo Micha Pawlitzki

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  • Extraits du livre « Petit trésor »

    Souvenirs tout à fait irrésistibles d’un petit garçon de Sept ans.

    De François Garagnon

     

    « Il est un peu mystérieux, mon papa, parce qu’il s’en va tous les matins au pays du travail. »

     

    « Ma maman elle a besoin d’argent, elle va devant une machine qui distribue des billets : il suffit de mettre une carte dans la petite fente et de taper les quatre chiffres magiques, c’est tout. Et je vais assure que ça marche à tous les coups ! En plus, c’est de vrais billets, j’en suis sûr, maman les échanges contre plein de choses toutes neuves dans les magasins et à la caisse, on lui dit merci madame. »

     

    « Au début, je n’aimais pas qu’il parte, papa et puis je me suis aperçu que c’était important de se séparer pour être plus heureux encore lorsqu’on se retrouve. Il y a un moment magique, le soir c’est la petite musique de la clé sur la porte. C’est comme un signal, le petit bruit du bonheur de se retrouver ensemble. »

     

    « Cherche dans ta petite vie de tous les jours toutes les choses invisibles qui t’embellissent au-dedans et qui te donne le sentiment de te hausser au dessus de toi-même. L’amour, la joie, la tendresse … Si tu aimes tous ses sentiments-là de tout ton cœur, si tu les vis de toute ton âme, si tu as envie de dire merci pour toutes les belles choses que tu reçois de la vie, et que tu éprouves le désir de les faire fleurir autour de toi, eh bien tous tes actes seront des prières. »

     

    « Je sais qu’il faut se nourrir de beauté, comme ça en passant, sans trop déranger la nature et l’ordre secret des choses. Il faut se laisser caresser par le doigt de soleil, par le grand bleu du ciel, par le doux vert des prés, par le sourire de ceux qu’on aime très fort et même le sourire des  inconnus qu’on ne croise qu’une fois. Tout ce qu’on veut prendre se fane, la beauté se perd et le cœur est triste. »

     

    « Ca ne doit pas être tout le temps de tout repos d’être un papa ou une maman, parce qu’il n’y a pas de mode d’emploi pour savoir comment faire quand fonctionne mal. »

     

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  • Extraits du livre « Petit trésor »

    Souvenirs tout à fait irrésistibles d’un petit garçon de Sept ans.

    De François Garagnon

     

    « Ma petite maman était enveloppée de tous les parfums du ciel et de la terre, et moi j’étais au beau milieu de son amour. Au beau milieu, vraiment. Maman, c’était l’infini.

     

    « Mon papa, c’est comme ma maman, sauf qu’il n’est pas toujours là et qu’il lui manque des choses très importantes, par exemple du lait, une voix très douce-câline, une patience éternelle-infinie et un menton qui ne pique pas. Parfois, il se sent obligé de prendre des aires sévères pour montrer que c’est lui, le papa qu’il n’aime pas les caprices et que même si j’ai une jolie frimousse, je suis encore plus mignon quand je ne pleure pas ! »

     

    «  Ma maman, c’est mon horizon à moi, il suffit que je la regarde pour voyager. D’ailleurs, je viens de son pays, du pays de son amour, là où on est bien protégé à l’abri du gris et du triste et qu’il peut pas nous arriver de bobos. Plus je me sens près d’elle et plus je me sens partir loin. Quand je ne vais pas très bien, elle me serre contre elle, elle me donne des minicaments et de bisous magiques. Ca va tout de suite beaucoup mieux. A nouveau, c’est la vie douce : je fais des provisions de soleil et de sommeil de lait et de câlins, de promenades sous des feuilles qui dansent autour du sourire de maman et des morceaux de ciel. Maman. Lumière, Tendresse. N’amoureux. Très fort. Je m’endors dans mon petit nid tout chaud. Un jour je m’envolerai. »

     

    « A force de regarder dans les yeux de maman, tout au fond de son infini d’amour, quelque chose en moi s’est échappé. Je suis parti si loin, qu’à un moment je ne me suis plus souvenu de rien. Il y a eu un grand soleil dans ma tête, et puis un grand sommeil. Même le doigt de maman que je serrais bien fort pourtant, m’a échappé. J’ai fondu comme le ballon jaune dans l’infini. A un moment, je n’étais plus qu’un petit point, et plus j’étais petit, plus je me sentais léger et drôlement bien. Alors, j’ai été avalé tout soudain par le sommeil et je suis parti, je crois bien, tout à fait au bord du ciel, là où tout est à sa place et où tout le monde s’aime pour de vrai. » (A suivre….)

     

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  • Extraits de « La joie de la rencontre »

    D’Anselm Grün

     

    « Dans la rencontre, j’expérimente qui je suis vraiment. Je découvre en moi des aspects cachés. Ce qui ne pouvait vivre encore prend forme. Je m’éveille à une vie nouvelle. »

     

    « On ne peut parler de la rencontre qu’à travers des images qui s’expriment en nous et éveillent notre aspiration à une rencontre réussie. »

     

    « Une rencontre est toujours créatrice. Elle me dynamise et crée en moi du nouveau. Elle me renvoie à l’innocence originelle. »

     

    « Une rencontre est toujours source de joie, de vie, de véracité. Lorsque je rencontre l’autre, j’entre en contact avec ma vrai nature, avec l’image unique et intacte que Dieu à de moi. »

     

    « Une rencontre réussie apaise et guérit. Nous nous sentons aimés ; pleins d’une joie sereine, plus forte que nos blessures. »

     

    « Nous découvrons les merveilles que peut produire une rencontre, quand nous voyons des personnes âgées accueillir un enfant. L’enfant fait fleurir un sourire chez ces vieilles personnes, parfois endurcies. Avec joie et sa vivacité naturelle, il se tourne vers elles et les fait revivre.

    Une rencontre dépasse toujours deux êtres qui se rejoignent. Elle élargit l’horizon. Le monde s’éclaire quand deux personnes se rencontrent vraiment. » (A suivre….)

     

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  • Extraits du livre « Petit trésor »

    Souvenirs tout à fait irrésistibles d’un petit garçon de Sept ans.

    De François Garagnon

     

    « Une  chose que je n’arrive pas à m’expliquer dans la petite vie de tous les jours, c’est que quand maman à une petite sculpture intérieure, eh bien, on dit qu’elle attend un heureux événement. Donc j’étais un heureux événement. Et vous aussi, vous étiez un heureux évènement. Alors cous pourriez m’expliquer pourquoi, au bout du compte, avec les milliards  « d’heureux événements » qui sont sur terre, il y a si peu de bonheur en circulation ? Normalement, le monde devrait exploser de joie. De savoir qu’en ce moment même, il y a tout plein d’heureux événements qui arrivent sur terre, ça vous donne pas envie de chanter comme un chant de fleurs ? »

     

     

    « Quand j’étais bébé, la sieste, c’était sacré ! Personne n’avait le droit de me déranger. Alors, bien sûr, je faisais de sacrées sieste ! Le jour, la nuit, et même entre les deux…. Il faut dire que les grandes personnes avaient peur de me déranger, car je passais mon temps à manger du sommeil. »

     

    « Quand je vois le soleil, je me sens plein de ciel bleu… Ca s’ouvre en moi pour accueillir un trop grand bonheur. Il me fait un cligner de l’œil, il me chatouille les cils, il me caresse la tête ou le bout des pieds, ça dépend. Encore maintenant, quand j’arrive dans la cuisine le matin et s’il est là lui aussi, je dis : « Bonjour Soleil ! » La journée est toute belle quand on a l’amitié du soleil. »

     

    « Ma maman a une voix très velours des chemisiers romantiques et plein d’amour dans les yeux. Au tout début, je ne voyais rien d’autre qu’elle. Ma maman, c’était mon monde à moi. Elle était toute fleurie d’étoiles et le de ciel, intense, claire et satinée. Ca suffisait à remplir les yeux à ras-bord.En elle c’était tout en courbes, en caresses et en silences de connivence. Même quand elle ne faisait que passer à côté de mon berceau, elle laissait derrière elle un sillage d’amour. Elle était infiniment douce, infiniment dorée. Infinie. Adorée. » (A suivre)

     

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  • Extraits du livre « Le voyage d’Hector »

    De François Lelord

     

    Il était une fois un jeune psychiatre nommé Hector qui n'était pas très content de lui : il voyait bien que, malgré sa bonne volonté, il n'arrivait pas à endre les gens heureux. Hector décide alors de partir courir le monde afin de comprendre ce qu'est vraiment le bonheur. Pourquoi rêvons-nous souvent d'une vie plus heureuse ? Trouve-t-on le bonheur dans la réussite ou dans les relations avec les autres ? Dépend-il des circonstances ou d'une manière de voir les choses

     

    Voici les leçons qu’il a retenues de son voyage :

     

    Leçon n" 1 :Un bon moyen de gâcher son bonheur, c'est de faire des comparaisons.

     

    Leçon n° 2: Le bonheur arrive souvent par surprise.

     

    Leçon n" 3 :Beaucoup de gens voient leur bonheur seulement dans le futur.

     

    Leçon n° 4: Beaucoup de gens pensent que le bonheur, c'est d'être plus riche ou plus important.

     

    Leçon n° 5: Le bonheur, parfois, c'est de ne pas comprendre.

     

    Leçon n° 6: Le bonheur c'est une bonne marche au milieu de belles montagnes inconnues.

     

    Leçon n° 7: L'erreur, c'est de croire que le bonheur est le but (à se faire mieux  expliquer).

     

    Leçon n°8: Le bonheur, c'est d'être avec des gens qu'on aime.

     

    Leçon n° 8 bis: Le malheur, c'est d'être séparé de ceux qu'on aime.

     

    Leçon n° 9: Le bonheur, c'est que sa famille ne manque de rien.

     

    Leçon n° 10 : Le bonheur, c'est d'avoir une occupation qu'on aime.

     

    Leçon n°11 : Le bonheur, c'est d'avoir une maison et un jardin.

     

    Leçon n° 12: Le bonheur, c'est plus difficile dans un pays dirigé par de mauvaises personnes.

     

    Leçon n°13: Le bonheur, c'est de se sentir utile aux autres.

     

    Leçon 14 : Le bonheur, c'est d'être aimé pour ce qu'on est.

    Remarque : On est plus gentil avec un enfant qui sourit

    (très important).

     

    Leçon 15 : Le bonheur, c'est de se sentir complètement vivant.

     

    Leçon n°16 : Le bonheur, c'est de faire la fête.

     

    Leçon17 : Le bonheur, c'est de penser au bonheur de ceux qu'on aime

     

    Leçon n° 19 : Le soleil et la mer, c’est le bonheur pour tout le monde

     

    Leçon n° 20 : Le bonheur, c’est une manière de voir les choses.

     

    Leçon n° 21 : Un grand poison du bonheur, c’est la rivalité.

     

    Leçon n° 22 : Les femmes sont plus attentives que les hommes au bonheur des autres.

     

    Leçon n° 23 : Le bonheur, c’est de s’occuper du bonheur des autres ?

     

    « La somme de ces trois écarts : entre ce qu’on a et ce qu’on aimerait avoir, entre ce qu’on a aujourd’hui et le mieux de ce qu’on a eu dans le passé, et entre ce qu’on a et ce que les autres ont, et bien cet écart moyen, est très lié au bonheur. Plus il est petit, plus on est heureux. » FIN

     

    Château de Brézé. (71)

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  • Extrait du livre «  Le bonheur d’aimer »

    D’Anselm Grün

     

    « C’est parce que nous avons reçu de l’amour de nos parents, nos grands-parents, nos frères et sœurs, nos professeurs et nos amis, que nous sommes capables d’aimer à notre tour. »

    « Seul celui qui reçoit peut donner. Mais à l’inverse, nous ne devons pas nous contenter de prendre. Car ce n’est qu’en aimant que nous recevons nous aussi toujours plus d’amour. »

     

    Saint Exupéry disait que le simple fait de vouloir aimer et être aimé, c’était déjà aimer. Beaucoup d’êtres humains souffrent de ressentir en eux si peu d’amour et de ne pas savoir vraiment  aimés ; Souvent, ils restent enfermés dans leur souffrance. Ils la dépasseront s’ils comprennent que vouloir aimer, c’est  déjà aimer. Je peux ressentir ce grand désir. Il me suffit de poser la main sur mon cœur et de me mettre à l’écoute : j’entre en contact avec mon désir profond, je prends conscience de l’amour qu’il renferme …. Voilà ce qui importe. Il est là, déjà, en moi.

    « Vouloir aimer, c’est déjà aimer. C’est un amour que nul ne peut me disputer. »

     

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