• Petites Histoire et Paraboles de Trevet Pierre

    2 pages

  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre 

    « Parabole d’un curé de campagne » 

    De Pierre Trevet 

      

    « Quatre mères de prêtres discutent des mérites de leur fils. 

    « Le mien, dit la première est nonce. Quand il entre quelque part, on lui  

    dit : Oh ! Bonjour, monseigneur. 

    - Mon fils, dit la deuxième, est évêque. Quand il entre quelque part, on lui dit : Oh ! Bonjour, Excellence. 

    - Mon fils, continue la suivante, est cardinal. Quand il arrive, on lui dit : Oh ! Bonjour, Éminence. » 

    La quatrième femme réfléchit un moment et finit par dire : « Mon fils mesure un mètre quatre-vingt-dix et pèse cent quinze kilos. Quand il entre quelque part, les gens disent : Oh ! Mon Dieu ! » 

    « Encore une histoire ? C'est l’histoire d'un directeur d'usine qui réprimande injustement un employé. Celui-ci ne peut pas répondre en face. En rentrant chez lui, il hurle après sa femme. Celle-ci, à son tour, hurle après sa fille qui n'a pas rangé sa chambre. La fille donne un coup de pied au chien qui se met à courir après le chat. « L'histoire se termine par la mort de la souris », conclut, avec son léger accent anglais, Jean Vanier. Autour de lui, on éclate de rire. Jean Vanier, lui, reste grave." 

    Fariboles 7

    « C'est ce qui se passe dans nos sociétés, dans nos communautés, poursuit-il. C'est ce que nous nous transmettons de génération en génération. L'agressivité, la violence se déplace du plus fort jusqu'au plus faible. La souris de l'histoire, ce sont aujourd'hui les personnes avec un handicap. On les enferme dans des hôpitaux psychiatriques ou on les supprime avant qu'elles naissent. Il nous faut avec Jésus accueillir toute cette violence et la transformer en tendresse pour briser cette chaîne. » 

     


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre

    « Parabole d’un curé de campagne »

    De Pierre Trevet

     

     

    « La vérité sort de la bouche des enfants, dit-on. Ce petit enseignement s'est passé à Genève dans une école primaire, Les enfants étaient invités à écrire ce qu'ils pensaient des grands-mères.

    Un enfant de huit ans a répondu : « Une grand-mère est une femme qui n'a pas d'enfants, c'est pour ça qu'elle aime les enfants des autres. Les grands-mères n'ont rien à faire : elles n'ont qu'à être là. Quand elles vous emmènent en promenade, elles marchent lentement sans écraser les belles feuilles, ni les chenilles. Elles ne disent jamais : avance plus vite ! En général, elles sont grosses, mais pas trop pour pouvoir attacher nos souliers. Elles savent qu'on a toujours besoin d'un second morceau de gâteau ou du plus gros. Une vraie grand-mère ne frappe jamais un enfant ; elle se met en colère en riant. Les grands-mères portent des lunettes et parfois, elles peuvent même enlever leurs dents. Quand elles nous lisent des histoires, elles ne sautent jamais un bout, et elles n'ont rien contre si on leur réclame la même histoire plusieurs fois. Les grands-mères sont les seuls adultes qui ont toujours le temps. Elles ne sont pas aussi fragiles qu'elles le disent, même si elles meurent plus souvent que nous. Tout le monde devrait essayer d'avoir une grand-mère, surtout ceux qui n'ont pas la télé. »

     


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre 

    « Parabole d’un curé de campagne » 

    De Pierre Trevet 

     

    « Beaucoup de nos difficultés relationnelles viennent du poison de l’interprétation. Avant de savoir ce que l’autre pense réellement j’imagine, je fais tout un film, j’interprète. Et, la plupart du temps, je me trompe, évidemment. 

    « Un homme aux allures modestes entre dans un bar. Il semble gauche et timide. Il s’installe à une table dans le coin le plus sombre. Il est là depuis un quart d'heure sans avoir commandé quoi que ce soit. Finalement le garçon s'approche de lui : 

    « Qu'est-ce que je vous sers, monsieur ? » 

    Et notre homme de répondre, Pair gêné : « Oh, vous savez, avec ce que j'ai... 

    - Je vous conseille un whisky. C'est bon pour tout. Pour les intestins, pour le cœur. Et aussi pour le moral... » 

    Il lui apporte un whisky. Le monsieur le sirote lentement. Il l'a fini depuis un quart d'heure. Comme il n'a toujours rien demandé, le serveur s'approche à nouveau : 

    « Est-ce que je dois vous servir autre chose, monsieur ? 

    - Oh ! Vous savez, pour ce que j'ai... » 

    Le garçon, qui n'ose pas demander ce qu'il a, lui conseille un autre whisky. Il se dit que si ce n'est pas bon pour ce qu'il a, c'est toujours bon pour la caisse du bar. Trois fois encore, il va revenir. Et trois fois, le même dialogue et le même whisky. Finalement, au bout de la sixième fois, le garçon pense qu'il peut se permettre cette audace et il lui demande : 

    « Mais, monsieur, si ce n'est pas trop indiscret, est-ce que je peux vous demander ce que vous avez exactement ? » 

    Et l'autre répond : « C'est-à-dire, heu..., je n'ai qu'un euro. » 


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre 

    « Parabole d’un curé de campagne » 

    De Pierre Trevet 

     

    « Sympathique aussi la façon dont les enfants de sept à dix ans voient les religieuses : 

    « La religieuse est une jeune dame qui croit en Dieu et lui dit oui" tous les jours. » 

    « Elle a reçu une bénédiction spéciale et, à partir de ce jour, elle peut être sainte... » 

    « Son cœur regarde le Seigneur. » (Dix ans.) 

    « C'est quelqu'un qui va à la messe presque toutes les semaines. » (Sept ans.) 

    « Elle prie avec une voix exceptionnel. » (Huit ans.) 

    « Elle fait le messager de Dieu. » (Dix ans.) 

    « Son métier, c'est d'expliquer la vie de Jésus. » (Neuf ans.) 

    « Une religieuse, c'est une dame qui n’a pas de mari. » (Huit ans.) 

    « Les religieuses : elles aident les autres à faire partir leurs soucis. » (Dix ans.) » 

     

     


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  • Le téléphone de Dieu 

    Très malicieux, Alfred m'a donné un jour le numéro de téléphone de Dieu. C'est le 50 49 15. Vous irez voir le psaume 50 (49), au verset 15 ; il y est écrit effectivement : « En cas de détresse appelle-moi ! » Une employée de France Télécom a développé la même idée en nous donnant les règles pour une bonne communication avec Dieu. 

    Pour téléphoner, il faut composer le numéro sans se trompé. Cela demande un peu d'attention et de concentration, de patience aussi. Il faut établir le contact. 

    Une conversation téléphonique avec Dieu n'est pas un monologue. Ne parle pas sans arrêt, mais écoute celui qui te parle à  l'autre bout du fil. 

    Si la communication est interrompue, vérifie si ce n'est pas toi qui as coupé le contact. 

    Ne prends pas l'habitude d'appeler Dieu uniquement en cas d'urgence. 

    Ne téléphone pas seulement à Dieu aux heures du « tarif réduit », c'est-à-dire en fin de semaine. Un court appel devrait être possible régulièrement. 

    Prends note que les appels de Dieu sont sans frais. 

    N'oublie pas de rappeler Dieu qui te laisse sans cesse des messages sur ton répondeur. 

    Nota bene. - Si malgré l'observation de ces règles, la communication s'avère difficile, adresse-toi en toute confiance à l'Esprit Saint : il rétablira la communication. 

    Si ton appareil ne fonctionne plus du tout, apporte-le à l'atelier de réparation qu'on appelle également le sacrement du pardon. 

    Tout appareil est garanti à vie et sera remis à neuf par un traitement gratuit. 


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre 

    « Parabole d’un curé de campagne » 

    De Pierre Trevet 

     

    « Je garde précieusement le souvenir d'un petit Loïc âgé de six ans. Sa maman l'amenait régulièrement à la messe. Au début des vacances de Toussaint, il participa à la célébration d'éveil à la foi que j'animais. Le lendemain de cette célébration, il se trouve chez une tante qui habite à une trentaine de kilomètres. Loïc raconte à sa tatie ce qu'il a vécu la veille. Sa tante lui dit tout à coup : « Loïc, tu me parles de Pierre ; mais qui est ce Pierre ?... » Et Loïc, après deux secondes de réflexion et un haussement d'épaules, explique : « C'est une espèce de Jésus qu'on trouve dans les églises. » N'est-ce pas une belle définition du prêtre ? 

     

    « Un enfant malicieux répond à la catéchiste  qui lui demande : « Quand Jésus a-t-il institué le sacrement de mariage ?  

    Quand il a dit : Père, pardonne-leurs, ils ne savent pas ce qu’ils font. » 

    Un autre, à la question : « Qu’est-ce que le mariage ? 

    Ben, c’est une jeune fille qui entre à l’église avec un vieux puis qui ressort avec un jeune … » 

     

    « L’institutrice demandait : « Qu’est-ce que cela veut dire que s’aimer les uns les autres ? » Un petit garçon de répondre : « C’est quand on est heureux d’être deux, ou bien quand on et heureux d’être à plusieurs, parce que c’est triste d’être tout seul. » Il avait tout de suite  compris que ce que Jésus nous demande, c’est pour notre bonheur. »

    Fariboles 5


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre 

    « Parabole d’un curé de campagne » 

    De Pierre Trevet 

      

    « Peut-être connaissez-vous l'histoire de ce pauvre homme. Il avait connu bien des malheurs, alors il se tourne vers Dieu : « Seigneur, je t'en prie, fais au moins que je gagne à la loterie. » Les choses allaient de mal en pis, mais il priait toujours : « Seigneur, viens à mon secours, fais-moi gagner à la loterie. » Chaque jour sa prière montait au ciel : « Seigneur, aide-moi, fais-moi gagner le gros lot... » Une nuit, la voix de Dieu le réveilla : « Je veux bien, mais il faudrait que tu m'aides un peu : achète au moins un billet ! » 

     

    « On demandait à un petit enfant ce que Jésus avait voulu dire en prononçant ces mots : « Ceci est mon corps » Le délicieux gamin avait répondu sans hésiter : Il voulait nous dire, « c’est bien moi. » 

     

     « Un jour, pendant la messe, un petit garçon dit à sa maman, en regardant le prêtre célébrer : « Maman, je voudrais bien être prêtre. » Intérieurement, la maman se dit : « Merci, Seigneur ! Comme c'est formidable ! Je ne suis pas digne d'une telle grâce. » Et à ce moment-là, elle entend l'enfant continuer : « Oui, parce qu'un prêtre, ça ne travaille que le dimanche. » 

     


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  • Le secret du bonheur 

     

    Rodant, triste et solitaire, 

    Dans la forêt du mystère, 

    J’ai crié, le cœur très las : 

    « La vie est triste ici-bas ! » 

    L’écho m’a répondu : « Bah ! » 

     

    Puis d’une voix si touchante : 

    « Écho, la vie est méchante ! » 

    L’écho m’a répondu : « Chante » 

     

    « Écho, écho des grands bois ! 

    Lourde, trop lourde est ma croix ! » 

    L’Écho m’a répondu : « Crois ! » 

     

    « La haine en moi va germer, 

    Dois-je rire ou blasphémer ? » 

    L’Écho m’a dit : « Aimer ! » 

     

    Comme l’Écho des grands bois 

    M’a conseillé de le faire, 

    J’aime, je chante et je crois.. 

    Et je suis heureux sur terre ! 

     

    (Théodore Botrel) 

     


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre

    « Parabole d’un curé de campagne »

    De Pierre Trevet

     

     

    « Voilà une petite histoire locale qui nous invite aussi, à sa manière, à changer vraiment notre être profond... Dans une paroisse, monsieur le curé avait lancé un appel : il cherchait un tronc d'arbre suffisamment grand pour faire sculpter une statue de saint Roch. À midi, en rentrant à la maison, une femme, une paysanne, dit à son mari : « Il n'y a qu'à donner le noyer du pré sous la maison : de toute façon, il n'a jamais donné de noix. » Aussitôt dit, aussitôt fait. Cela a pris beaucoup de temps : il a fallu, bien sûr, dégager les racines du noyer, l'abattre à la hache, transporter le tronc chez le sculpteur, attendre que le bois sèche... mais, deux ans plus tard, monsieur le curé peut installer la statue dans une belle niche à l'église, et la bénir au cours d'une célébration solennelle. Peu de temps après, dans la ferme de ceux qui avaient donné le noyer, une des vaches tombe malade. Belle occasion de prier le saint pour lui demander de la sauver. Cependant, la vache, au lieu de guérir, finit par crever. Alors la femme retourne à l'église et dit à la statue : Vaya re en nouyer, valipa mei en saint ! (Tu ne valais rien en noyer, tu ne vaux pas mieux en saint.)

     

    Il ne suffit pas de changer les apparences, de « relooker ». Il faut changer le cœur. Alors seulement, nous porterons de bons fruits. »

     

    La statue


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre 

    « Parabole d’un curé de campagne » 

    De Pierre Trevet 

      

    Les deux géraniums 

     

    « Un jour de printemps, une dame avait acheté deux géraniums et les avait disposés sur le bord de la fenêtre de la cuisine. Chaque jour, elle les arrose, les caresse, leur parle amoureusement... Cependant, un des deux grandit plus vite que l'autre. La différence se remarque rapidement ; d'ailleurs, il a aussi plus de fleurs... Et le plus petit des deux s'inquiète, dans son cœur s'insinue le doute : s'il grandit moins vite, c'est qu'il est moins aimé... Alors, pour rattraper son retard, il s'étire, il s'allonge tant qu'il peut... Mais à force de s'étirer, ses fleurs se dessèchent et tombent, ses tiges deviennent jaunes... Finalement, même ses racines sèchent... et il meurt. Il ne savait pas qu'il était en fait un magnifique géranium nain et que l'autre était un géranium grimpant. Il n'avait pas su s'accepter, et surtout il n'avait pas su comprendre qu'il était autant - sinon plus - aimé que son voisin... Voilà pour l'amour du Seigneur très particulier, très privilégié, qui repose sur chacun de nous. » 

     


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre 

    « Parabole d’un curé de campagne » 

    De Pierre Trevet 

     « Je connais une chrétienne, qui n’ignore pas ce que sont les signes du zodiaques. Lorsqu’on lui demande : «  De quel signe es-tu ? Elle répond, malicieusement : « Je suis du signe de la Croix »

     

     « Un chrétien avait perdu le sommeil parce qu'il avait le sentiment que quelqu'un était caché sous son lit. Le médecin tente de le raisonner. Il lui prescrit des anxiolytiques. Aucun résultat. Il lui est alors conseillé une vingtaine de séances qu'il va commencer chez un psychanalyste. Un jour, ce dernier ne le voit plus revenir Le travail n'est pourtant pas terminé. Que s'est-il passé ? Le psychanalyste retrouve par hasard son patient dans la rue... Curieux  de savoir où son patient en est, il s'enhardit à lui demander des nouvelles. « Eh bien, lui répond le malade, je suis allé voir un prêtre. Il m'a écouté et puis il m'a conseillé de scier les pieds de mon lit pour que le matelas soit à même le sol. Je l'ai fait et j'ai retrouvé mon sommeil de bébé...


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  • Horoscope 

     

    L'auteur certifie ne pas avoir utilisé de marc de café pour obtenir ces révélations. La Bible est entièrement suffisante. 

     

    « Si vous êtes né entre le 1er janvier et le 31 décembre : « Vous êtes sous le signe de la grâce de Dieu » (Tt 2, 11). 

    « Astre dominant : « La brillante étoile du matin, Jésus-Christ, le soleil levant qui nous a visités d'en haut » (Le 1, 78). 

    « En amour : Toujours heureux d'être aimé de Dieu et de l'aimer, car 

    Rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ » (Rm 8, 39). 

    « Vos voyages : « Le Seigneur te gardera au départ et au retour dès maintenant et pour toujours » (Ps 121, 8). 

    « Votre santé : « Cette parole est certaine : si nous mourons ;avec lui, nous vivrons aussi avec lui » (1 Tm 1, 15 ; 2 Tm 2, 11). « Ne vous inquiétez de rien » (Ph 4, 6). 

    « Votre argent : « Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse avec magnificence » (Ph 4, 19). « J'ai appris à être content de l'état où je me trouve » (Ph 4,11). 

    « Événements mondiaux : « Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerre ; gardez-vous d'être troublés, car il faut que cela arrive  (Mt 24, 6). « Mais la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu sera prêchée dans le monde entier pour servir de témoignage à toutes les nations » (Mt 24, 14). 

    « Événements particuliers : « Mes destinées sont dans ta main »  

    (Ps 31, 16). « Toutes choses concourent au bien de ceux qui •liment Dieu » (Rm 8, 28). 

     

    « Nota bene. - Les écrits de référence désignés ci-dessus étant indépendants de toute influence lunaire, l'utilisation de votre horoscope est recommandée en toute saison et sous toutes les latitudes. Allez et vivez dans la paix et la joie du Christ ! 

     


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  • Après quoi Courons-nous ?

     

    Pour tuer un homme dans une guerre : cinq cent mille euros.  

    Pour envoyer un homme dans l'espace : quarante milliards euros. 

    Pour éviter à un homme de mourir de faim : huit euros. 

    Après quoi courons-nous ? 

    Voulez-vous avoir un poste de télévision ? 

    Si vous êtes très pauvre, vous l'achèterez à crédit. Vous le paierez donc, en fin de compte, bien au-dessus de son prix. 

    Si vous êtes dans la moyenne, ou un peu au-dessus, vous l'achèterez au prix affiché. 

    Si vous êtes riche, vous avez sûrement un ami bien placé qui vous le fera avoir avec trente pour cent de réduction. 

    Si vous êtes très riche, le fabriquant vous l'offrira.  

    Après quoi courons-nous ? 

    J'avais faim, tu m'as conseillé de faire la queue.  

    J'avais faim, tu as créé une commission.  

    J'avais faim, tu as envoyé une sonde sur Mars.  

    J'avais faim, tu m'as répondu : « C'est la vie. »  

    J'avais faim, tu m'as dit : « Nous n'embauchons pas de personnel de plus de trente-cinq ans. » 

    J'avais faim, ta réponse : « Que le Seigneur te vienne en aide. »  

    J'avais faim, ta réaction : « Ça n'est pas possible. »  

    J'avais faim, ta réponse : « La machine t'a remplacé. »  

    J'avais faim, tu ne manquais pas d'argent pour fabriquer des bombes. 

    J'avais faim, tu m'as répondu : « Il y aura toujours des pauvres. » 

    Après quoi courons-nous ? 


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre 

    « Parabole d’un curé de campagne » 

    De Pierre Trevet 

     

    « Au cours d’une réunion de chrétiens, un participant d’origine étrangère a voulu cité la parole de Jésus : « Ne vous inquiétez pas ! Votre Père céleste s’occupe bien des passereaux qui pourtant ne cultivent ni ne moissonnent ! Vous valez plus que les passereaux. » Mais dans son français approximatif, il a dit : « Votre Père céleste s’occupe même des paresseux. » C’est vrai aussi. 

     « Une fille raconte qu’elle avait fait tant de choses graves que lorsqu'elle a rencontré le Seigneur, elle était certaine, disait-elle, que Dieu avait voilé son regard devant l'horreur de sa vie. C'était fini ! Dieu ne pouvait plus rentrer dans sa vie, il s'était voilé les yeux. Un jour, quelqu'un lui a lu ce passage du prophète Isaïe : « J'ai gravé ton nom dans la paume de mes mains. » Alors elle s'est dit : « Même si Dieu avait voulu voiler son regard devant l'horreur de ma vie, il a  mon devant ses yeux sans cesse. » Et par cette espérance de son nom gravé dans la paume des mains de Dieu, elle a pu  renaître à la vraie vie en Jésus. » 

     


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  • Petites Histoire et Paraboles extraites du livre 

    « Parabole d’un curé de campagne » 

    De Pierre Trevet 

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    Quand Jésus croise l'archange Gabriel 

     

    Voici ce que raconte une vieille histoire du Moyen Âge. Le jour  de l'Ascension, Jésus s'élève devant ses Apôtres et disparaît à leurs regards. Ce qu'ils ne savent pas, c'est que ce jour-là, il croise l’archange  Gabriel qui lui dit : « Ah ! Quelle joie de te voir ! Mais qu’est-ce qui se passe sur la terre ? C'est un petit peu bizarre, tout est noir, tout est dans la nuit, je vois juste quelques petites lumières là-bas. » Jésus lui explique alors : « C'est la nuit sur la terre : < c’est  vrai. Mais compte bien les petites lumières ; il y en a douze : «C’est Marie, ma mère, et mes Apôtres, qui sont en train de prier .au Cénacle. Et mon plan, une fois retourné chez mon Père, est «d’envoyer de là-haut l'Esprit Saint. Alors, une fois que j'aurai envoyé  l'Esprit Saint, tu verras : toute la terre va être embrasée. Les petites flammes qui sont là dans cette petite maison vont se répandre partout et toute la terre ne sera qu’un grand feu. » L’archange Gabriel, parce qu’il nous connaît bien – cela fait déjà quelques années qu’il nous suit -, tire une tête un peu septique..  Et il demanda à Jésus : Qu’est ce qui se passera si ton plan ne marche pas ? «  Alors Jésus lui répond : « Je n’ai pas d’autres plan. » 

    Le Christ n’a qu’un plan pour l’humanité !: ne cherchons pas pour sauvez l’humanité, un autre plan. Faisons confiance à Jésus. Le mieux est d’entrer dans son plan. 

     


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