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Symboles de Noël
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Par renal le 5 Décembre 2013 à 10:15
La couronne de l’Avent
La coutume de la couronne de l'Avent est née il y a très longtemps en Allemagne (au 16ième siècle) pour préparer les chrétiens à la grande fête de Noël qui allait venir dans quatre semaines. La couronne est un cercle qui rappelle que le temps des fêtes nous revient à chaque année, et le cercle est un très ancien symbole pour la vie éternelle. Pour nous, il symbolise aussi que Jésus va revenir, que l'Avent n'est donc pas seulement l'attente avant Noël, mais aussi bien l'attente du Retour du Christ. La couleur verte de la couronne, celle du sapin ou du pin, signifie la vie éternelle et l'espérance. Comme ces arbres qui restent verts toute l'année nous pouvons toujours faire confiance à Dieu. Sur la couronne il y a quatre bougies. Chaque dimanche on en allume une de plus. Plus la fête approche, plus il y a de lumières. Cela nous rappelle que Jésus est la lumière du monde.
(Adapté d'un texte de Pierre-Paul Lafond)
http://www.granby.net/~santschi/noel/noelcouronne.htm
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Par renal le 16 Décembre 2011 à 13:18
La Bûche
Il est dit que la bûche protège la maison du danger. C'est une des traditions païennes répandues en Europe depuis la nuit des temps pour fêter le solstice d'hiver. On allumait des feux de joie, symboles modestes mais significatifs de la nouvelle chaleur du soleil. Cette tradition païenne est encore vivante dans de nombreuses régions de l'Italie et dans plusieurs pays. En Ombrie et en Emilie, dans les Marches et dans les Abruzzes, on fait brûler une grosse bûche d'olivier jusqu'aux premiers jours de janvier. A ce moment, les cendres sont répandues dans les champs et les vignes, comme augure de bonnes récoltes. Pour les Pouilles et en Calabre, on recouvre la bûche de lierre et on l'entoure de douze bûches plus petites pour représenter les douze apôtres. En Sardaigne, on jeûne devant le feu jusqu'à minuit. Une belle tradition toscane veut que les portes de la maison restent ouvertes aux hôtes de passage, tant qu'une souche brûle dans l'âtre.
Source: http://www.mairie-le-cannet.fr/Fetes/noel/ncontes/legendenoel.htm ...www.lespasseurs.com
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Par renal le 15 Décembre 2011 à 19:37
Histoire de la Fête de Noël
Les peuples préhistoriques adoraient la lumière et ils avaient construit des temples qui aidaient à comprendre l'arrivée des saisons pour les premiers agriculteurs européens, les hommes du néolithique. Dans le temple mégalithique de New grange en Irlande, la lumière du soleil ne rentre que le jour du solstice d'hiver, le 25 décembre. De même dans le temple de Stonehenge en Angleterre,
le soleil ne se lève dans une pierre percée que le 21 juin, jour du solstice d'été.Les Égyptiens adoraient à cette période, le fils du Dieu Osiris, Aïnou surnommé le soleil renaissant et marqué au front d'une étoile d'or. Les Celtes faisaient de grands feux aux solstices pour lutter contre les ténèbres. Ils avaient très peur de ces périodes sombres avec le jour plus court mais en même temps, ils savaient que le soleil allait réchauffer le sol et les plantes. Au 6ème jour qui suivit le solstice d'hiver, notre 1er janvier, ils coupaient en grande cérémonie le gui sacré qui montrait que la nature revivait sur les chênes qui semblaient morts ; le druide criait alors: "o ghel an heu!" qui signifiait "que le blé lève" et qui est devenu "Au gui , l'an neuf". Les Romains fêtaient les Saturnales du 17 au 25 décembre, les hommes et les femmes portaient alors des guirlandes autour du cou et s'offraient toutes sortes de cadeaux. Un peu plus tard, sous l'empire romain,
le 25 décembre devint la fête du "soleil invaincu" avec une des divinités solaires représentée par un enfant nouveau-né. La religion chrétienne qui célébrait jusqu'au 3ème siècle la naissance du Christ le 6 janvier (anciennes saturnales romaines) décida en 354 que le 25 décembre deviendrait la date de la naissance de Jésus Christ. Le 25 décembre est une fête qui regroupe de nombreuses croyances très anciennes avant de devenir une des dates les plus importantes du calendrier chrétien.Source: http://www.mairie-le-cannet.fr/Fetes/noel/ncontes/legendenoel.
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Par renal le 8 Décembre 2011 à 08:21
La voix de l’ange
Les anges habitent doucement notre mémoire profonde. En hébreu comme en grec, le mot ange désigne « l'envoyé » ou « le messager » de Dieu. Il a parfois visage très humain (cf. Gn 28, 12), mais le plus souvent, la Bible parle de façon très sobre de l’ange du Seigneur;
C’est le cas dans la nuit de Bethléem, l’ange du Seigneur annonce aux bergers la «grande joie » de la naissance du Sauveur; comme il annonça à Marie ce projet immense de Dieu venant habiter en terre humaine. C'est encore l’ange du Seigneur qui annonce aux disciples la résurrection de Jésus, Ainsi les anges interviennent-ils dans les moments essentiels de révélation
Pas surprenant, dès lors, que l’ange du. Seigneur soit présent dans nos crèches, comme auprès des bergers, dans (le ciel de Bethléem, l’ange du Seigneur seul peut dire à l'homme cette nouvelle inouïe et qui le dépasse : Dieu prend chair au cœur de son histoire. Pas surprenant non plus que, pour le dire plus fort encore, Luc entoure l’ange d'une armée du ciel. En la nuit de Noël, leur chant est d'une infinie beauté. Au ciel de nos crèches, ils poursuivent la joyeuse annonce.
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Par renal le 7 Décembre 2011 à 10:06
La Crèche
Les « mystères » joués dans les églises et sur les parvis dès le XIe siècle se muèrent peu à peu en pastorales et en crèches vivantes, plus parlantes et plus populaires. C'est dans cet esprit que, pour la messe de Noël 1223, François d'Assise rassembla les habitants de Greccio, en Ombrie dans une grotte où avait été disposés une crèche garnie de foin, un bœuf et un âne. Saint François voulait avant tout donner à voir et comprendre l’humilité de Dieu devenant homme, La crèche était née. Peu à peu, l'usage se répandit d'en réaliser dans toutes les églises, puis dans les maisons.
Le décor des crèches est toujours très simple. Joseph et Marie sont auprès de l'enfant. S’ils sont à genoux, c'est pour mieux dire le mystère de cette naissance, Car, en cet enfant la foi reconnaît le Fils de Dieu. Le bœuf et l’âne viennent des Ecritures : « Le bœuf connaît son propriétaire, et l'âne, la crèche de son maître, dit Isaïe, Israël ne me connaît pas, mon peuple ne comprend pas » (Is f, 3). Ainsi
sont-ils ici au plus près. Les bergers et leurs moutons rappellent leur présence dans la nuit de Bethléem. Ils assurent aussi la présence des pauvres, avant celle des mages, symbole de l'ouverture à tous du mystère et du don total de Dieu.
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Par renal le 6 Décembre 2011 à 08:55
Les chants de Noël
« Celui qui aime chante », dit saint Augustin. On ne peut imaginer Noël sans chants, et la tradition des cantiques de Noël est partout forte, Elle est particulièrement en Allemagne et dans les pays anglo-saxons, où le répertoire est large, C'est ainsi que, dans un petit village à proximité de Salzbourg, fut composé en 1818, quelques heures seulement avant la messe de minuit, le Stille Nacht (Douce nuit), par le prêtre du village et son organiste, Un chant très vite traduit en de multiples langues,
Mais J, S, Bach et d'autres avaient depuis longtemps composé des cantates de Noël On s’en souvient aussi du temps, très ancien, où, par un décret du concile de Tolède en 636, l'Annonciation devait être célébrée huit jours avant Noël. Durant chacun des jours de cette octave, on chantait de magnifiques antiennes qui accompagnaient l'approche de la solennité dans une contemplation biblique du mystère de l'Incarnation. Dans certaines Églises, on en chantait douze, pour honorer les douze prophètes qui ont annoncé la venue du Messie, et les douze Apôtres qui ont prêché cet avènement, que, nous aussi, nous accueillons et célébrons.
Image :http://www.fete-enfants.com/noel-enfants/noel-index.htm
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Par renal le 5 Décembre 2011 à 09:44
L’arbre de Noël
L’arbre de Noël est une coutume d'origine chrétienne, II nous vient des mystères du Moyen Âge joués sur le parvis des églises pendant la nuit de Noël, en prélude à la célébration religieuse, Ils mettaient en scène la chute d'Adam et Eve, rachetée par la venue du Christ. Près d'eux, un arbre chargé de fruits rappelait celui des origines. Et l'arbre se décore peu à peu de pommes et d'hosties. Pour mieux montrer que l'incarnation du Christ, célébrée en la fête de Noël, rachète le péché de l'homme. Du parvis des églises, le sapin passe, au XVIe siècle, dans les maisons» On y accroche des pommes (rappel de la faute des origines), parfois des roses de papier multicolore, rappelant l'arbre de Jessé évoqué par Isaïe (Is 1-1), parfois des dattes, des noix, de l'or « qui grésille » (fines feuilles de métal doré, rappelant l'or apporté par les mages). Au pied du sapin, les cadeaux rappellent aussi que Dieu se donne et que l'homme apprend de même à donner, Les boules de Noël ont remplacé les pommes, mais en gardent la signification, Elles sont en verre au XVIIIe siècle, rappelant que le Christ est « la lumière qui brille dons les ténèbres »
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Par renal le 3 Décembre 2011 à 10:36
Décors et couleurs
Couronnes, guirlandes, bougies, photophores sont, avec la crèche, autant d'élément familiers au temps de Noël. Préparer la maison, c'est un peu préparer son cœur.
Dans les pays du Nord existait la coutume très ancienne de placer dans les maisons au cœur de l’hiver; verdure et feuillages persistants, non pas pour décorer; mais pour éloigner les mauvais esprits et appeler le retour du printemps. Cette coutume s'est estompée, Mais la verdure a gardé sa place dans les coutumes de Noël. La couronne de l’Avent, est faite de branches de sapin ou de pin ou encore de laurier, de houx ou parfois de gui, de pommes de pin et de rubans de couleur. La couleur verte, celle du pin ou du sapin qui demeurent toujours verts, signifie la vie. On dit que le houx a le pouvoir d'éloigner le mauvais œil; Mais dans la tradition chrétienne, il rappelle la couronne du Christ et les baies, ses gouttes de sang. Le gui symbolise la paix et le bonheur; le romarin, l’amitié et la mémoire, le lierre, la fertilité et l’affection constante. Le rouge symbolise le feu, la chaleur et la lumière. Le blanc évoque la pureté et la résurrection du Christ.
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Par renal le 1 Décembre 2011 à 18:03
La couronne de l’Avent
Au cœur de l’hiver, au moment du solstice où la lumière l’emporte sur les ténèbres, Noël resplendit comme la fête de la lumière, au plus près du mystère du Christ. Les chrétiens ont éprouvé le besoin de vivre un temps de préparation spirituelle à cette fête importante. C’est ainsi qu’est né l’Avent, dont la durée a varie au fil du temps. De huit jours seulement à la fin du IV siècle, il débute deux siècles plus tard le 11 novembre et inclut trois jours de jeûne par semaine, si bien qu’on l’a parfois appelé « le petit Carême ». Les quatre bougies de la couronne de l’Avent sont le signe de la lumière de Noël qui approche. On allume la première le premier dimanche de l’Avent, puis une de plus chaque dimanche. Plus la fête approche, plus il y a de la lumière. Les premières couronnes sont apparues au nord de l’Allemagne au XVI siècle. On les suspendait au plafond comme luminaires, ou bien on les plaçait sur une table. Leur forme ronde évoque le soleil et annonce son retour chaque année, mais aussi celui de Jésus : l’Avent ne représente pas seulement l’attente de Noël, mais aussi celle du retour du Christ.
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Par renal le 30 Novembre 2011 à 22:26
Calendrier de L’Avent
La coutume du calendrier de l’Avent, comme beaucoup de nos traditions de Noël,- est d'origine germanique. Pour faire patienter les enfants dans l'attente de Noël, on leur remettait chaque matin une image pieuse, comportant une phrase de l'Evangile ou l'incitation à une bonne action. Peu à peu, vint l'idée de réaliser une feuille de carton représentant une grande image religieuse liée à Noël dans laquelle on découpait de petites fenêtres une pour chaque jour de l’Avent Derrière chacune d'elles était placée une surprise : une image, une figurine, ou encore un poème ou bien un chocolat.
Le calendrier de l'Avent est connu, sous une forme artisanale, depuis la seconde moitié du XIXe siècle. Mais c'est probablement en 1 90 1 qu'apparut le premier vrai calendrier; sous la forme d'une pendule avec une aiguille que l'on déplaçait chaque jour. D'Allemagne, le calendrier se répandit ensuite dans le reste de l'Europe, et au-delà. Ainsi, de façon simple les gestes de l'attente communiquent-ils aux enfants — et font peut-être redécouvrir aux grands - le goût de Dieu.
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