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Par renal le 28 Septembre 2010 à 20:10
Tu es là, à la porte de mon cœur
J’aimerais sentir ta présence tous les jours,
Mais mon cœur répond t-il à chaque fois que tu frappes ?
Tu es discret, tu entres seulement si on t’invite.
Tu es patient, tu attends, tu es là tout le temps.
C’est à nous de te donner un peu de notre temps.
Mon cœur est ouvert, mais parfois
Trop rempli de moi-même,
Trop rempli de crainte, de doutes,
De pourquoi, de tristesse.
Et il ne reste pas beaucoup de place pour toi.
C’est pourquoi, je voudrais, te faire de la place,
Écartez les craintes, puisque tu es là,
Effacer les doutes, car tu m’aimes plus que tout,
Enlever la tristesse, car tu es la joie ;
Oublier le « moi » puisqu’on est deux toi et moi.
Chercher ta lumière, quand il fait noir,
Avancer avec courage, quand la route parait longue,
Savoir t’offrir mes soucis, car tu les portes pour moi.
Prier et te chanter, quand mon cœur est triste,
Te remercier d’être là, avec moi,
T’offrir avec confiance, ceux que j’aime et qui souffrent.
Savoir que tu es toujours là, même quand je m’éloigne.
Savoir que tu es mon ami, que je peux compter sur toi,
Et te dire tout simplement « j’’ai confiance en toi. »
Nicole Septembre 2010
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Par renal le 15 Juin 2010 à 08:14
Un endroit cher à mon cœur
Un jour sur ma route, j’ai découvert, un endroit,
Au joli nom de « Philo !!! »
Un endroit où dansent les mots.
Un endroit où j’ai découvert des « z’amis »
On y trouve un beau jardin, où demeurent de belles fleurs.
Une « Rose » aux Pétales délicates, un cœur sur la main,
Une « Anémone », avec toujours un sourire, un mot, un réconfort,
On y trouve, de la bonne humeur, des idées, des avis, différents,
De l’humour, des caractères différents, des sensibilités,
Tout cela faisant la richesse de cet endroit.
Il y a toujours, une douce « Brumes », qui plane sur le jardin,
Une Brumes, d’une grande sagesse, positive, coquine,
Qui nous emmène loin avec de belles histoires.
On y rencontre un gentil « Canard » ! Toujours là, avec sa bonne humeur, et son humour.
Dans ce jardin, se promène aussi un « Prince du désert »
Au détour d’un chemin, on aperçoit un « Loup »
qui vient nous faire coucou, de temps en temps,
Apportant un peu de science, et de découverte.
Pour rêver, pour remplir mon cœur de paix
Un poète qui nous comble par ses « Rimes »
Nous fait partir vers des horizons, de douceur.
Toujours là, gardiennes, du forum, un cœur tendre,
Surveillant que cet endroit reste un lieu de détente,
Deux charmantes filles, qui sans elles, il n’y aurait
Pas eu cet endroit cher à mon cœur.
Quand elle vient nous voir avec pleins d’idées, et de beaux textes,
Notre « Dom », est aussi dans ce bel endroit.
Un endroit, où se trouve un jardin, remplis de « Z’amis »,
Un endroit ouvert, à tous ceux qui ont de l’amitié,
De la bonne humeur, du respect, et des idées.
Si vous passez par là, prenez le temps, de vous arrêter,
Lisez, écouter, regarder, vous y découvrirez
L’Amitié avec un grand A
Nicole (Mai 2009)
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Par renal le 10 Mai 2010 à 20:01
Il y a toujours un espoir
Après une belle ligne droite, un paysage plein de soleil,
Des virages, des montées, de gros nuages dans le ciel.
Mes pas ralentissent, le rythme diminue, j’avance doucement,
Je pense que c’est normal, ce sont des moments,
Qui dans la vie, nous permettent de reprendre notre souffle,
Des moments que nous seuls pouvons franchir.
Écouter mon cœur, reconnaître la douleur,
Ne pas se laisser écraser par le poids de mes malheurs,
Se souvenir des petits moments de bonheur,
Qui pourront m’aider à relever la tête.
Laisser couler les larmes ; les retenir font plus mal,
Accepter la douleur, mais ne pas la laisser régner,
Chercher une oreille, qui écoute, sans vouloir conseiller,
Faire sortir sa douleur, par des mots, des écrits,
Chercher au plus profond de moi, avec toute ma foi ;
Les forces qui me permettront de repartir.
Avoir confiance, en celui qui m’accompagne,
Qui sera, même si je crois le contraire,
Toujours là pour attraper ma main,
Mais sans pour cela me contraindre.
Le soleil est plus fort que les nuages,
A moi de lui ouvrir mon cœur, avec courage,
La lumière est plus forte que l’obscurité,
A moi de lever les yeux pour la chercher.
Et derrière ces virages, ces montées, ces nuages
S’ouvriront devant moi, une belle ligne droite,
Un ciel sans nuage, un paysage rempli de soleil
(Nicole Mai 2010)
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Par renal le 10 Juillet 2009 à 18:34
Donner, Aider, Aimer
Donner un peu de son temps,
Un peu, de temps en temps, souvent.
Etre à l’écoute des autres,
Aider, Aimer, et bien d’autres …..
Vouloir apaiser, rassurer,
Pouvoir, soulager, réconforter.
Et au bout d’un moment,
Se rendre compte que tout ce temps
A vouloir s’occuper des autres ;
On oublie aussi que nous aussi finalement,
On voudrait être écouté,
On aimerait être consolé,
On désirerait être aimé.
Est-ce une manière de se fuir
En allant vers les autres ?
En donnant, en aidant,
Ne le faisons-nous pas, pour oublier nos douleurs ?
Même si nous donnons gratuitement,
Il arrive que parfois, nous soyons fatigués,
Envie de rien, envie de tout …
Et c’est dans ces moments là
Que nous viennent tous ses doutes.
Et malgré tout,
On continue à aider, à écouter,
À aimer, à donner,
Car il y aura toujours, plus triste que nous.
Il y aura toujours quelqu’un plus seul que nous.
Il y a toujours quelque chose qui nous pousse en avant
Nicole (Juillet 2009)
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Par renal le 4 Décembre 2008 à 14:03
NOEL A LA MARTINIQUE
Noël, arrive, sur mon île.
Comme ici, tout le monde le prépare,
Mais là-bas, il n’y a pas de neige,
Il ne fait pas froid,
Les guirlandes sont dans les Filaos,
Le Père Noël n’a pas de traineau,
Il arrive en bateau.
On tue le cochon ; le boudin, les accras,
Le ti-punch, font partis du repas
Qui réunit, autour de chansons,
Les familles qui à l’unissons
Chantent Noël, dans toutes les maisons.
A minuit, les familles se rendent à la messe
Pour accueillir ensemble, en chantant,
Le petit enfant dans la crèche.
Les enfants sont tous beaux,
Un jour comme celui-ci, où là-haut,
Dans un ciel étoilé, sous les cocotiers
On entend les anges chanter :
Un sauveur nous est né.
Le matin, on trouve au pied du Filaos
Tout un tas de cadeaux,
Les rubans tombent, les papiers volent
Et les cris de joies des enfants,
Résonnent partout sur l’île
Qu’ils sont beaux les Noël sur mon île !
Ils resteront à jamais gravés, dans mon cœur.
Ces chants de Noël, je les connais par cœur,
Ils ont bercé mon âme d’enfant,
Et résonnent encore aujourd’hui,
Au plus profond de moi.
Nicole (décembre 08)
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Par renal le 6 Novembre 2008 à 12:07
LOURDES
Pour te rencontrer j’ai pris le train,
Je me suis joins aux nombreux pèlerins.
Je suis venue vers toi, avec foi,
Avec dans mes bagages, la joie d’une rencontre,
Mais aussi le cœur plein de demandes, de questions, de désirs.
Quand je suis arrivée devant toi,
J’ai tout déposé dans tes bras,
Et là, vidée de mes demandes, de mes questions, de mes désirs,
J’ai loué ton nom,
Je t’ai remercié de m’avoir accueilli,
Je t’ai ouvert mon cœur,
Je me suis laissée dorloter, par ton cœur de mère.
J’ai compris que tu portais à ton fils,
Mes demandes et mes prières, mes joies, et mes remerciements,
Enfin le désir de mon cœur.
Je t’ai écouté, je tai laissé m’aimer,
Je t’ai confié ma vie, j’ai mis ma confiance entre tes mains,
Je t’ai demandé de m’aider à dire oui à ton fils.
Je suis repartie dans ce train,
Avec les nombreux pèlerins,
Avec au fond du cœur, de la joie, de la force,
Et le souvenir d’une rencontre oh combiens
Bienheureuse.
Merci MARIE
Nicole
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Par renal le 14 Août 2008 à 15:05
La pluie et le soleil
La pluie tombe doucement,
Elle me pénètre lentement
Ruisselant sur mon corps,
Se mêlant à mes larmes,
Nettoyant mon cœur
Faisant tomber toutes mes armes.
Elle emporte avec elle,
Mes chagrins, mes douleurs
Mes doutes et mes peurs.
Elle cède sa place au soleil
Qui met mon cœur en éveil,
En y déposant ses doux rayons,
Il y amène la douceur, la chaleur,
La paix, la joie et l’amour.
Une fois mon cœur lavé
Une fois mon cœur réchauffé,
Il peut à nouveau, aimer, donner, aider
Et surtout, accepter d’être aimer.
Il faut de temps en temps
Une douce pluie pour laver notre cœur
Et un rayon de soleil pour le réchauffer
Et lui redonner l’envie d’aimer.
Nicole (aout 2008)
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Par renal le 18 Juillet 2008 à 18:40
Le rêve
Je marche dans le désert,
Rien que du sable à perte de vue.
Il fait chaud, le soleil trouble ma vue,
Et pourtant j’ai si froid.
J’avance doucement, poussée par le vent.
Soudain je vois d’un côté, des visages tristes :
Les chagrins, les ennuis, les soucis, la tristesse ;
De l’autre côté, des visages qui sourient :
L’espoir, l’amitié, la confiance, la joie.
Moi je suis au milieu,
Je ne sais où aller.
Ne sachant que faire,
Je me couche sur le sable,
Et doucement je m’endors.
Un rayon de soleil caresse mon visage,
J’ouvre les yeux, je suis dans mon lit.
Je comprends que ce désert traversé,
N’est en fait ! Que mon cœur,
Que dans ce cœur,
Il y a la tristesse, le chagrin
Mais aussi, l’espoir, la confiance et la joie,
Et qu’il n’y a que moi qui puisse choisir.
(Nicole Juillet 2008)
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Par renal le 18 Mai 2008 à 18:44
Mon petit ange
Je t’ai désirée,
Je t’ai conçue
Je t’ai attendue,
Tu es venue,
Je t’ai portée,
Je t’ai senti bouger
Je t’ai nourri
Je t’ai donné
Tout mon amour,
Tellement fière
De ce petit être,
Qui grandissait en moi.
Le jour est arrivé
Où tu devais faire
Ton entrée dans le monde,
Et quitter la chaleur de mon corps.
Hélas, mon ange,
Les messieurs et les dames
Ne t’ont pas permis,
De découvrir la vie.
Alors, tu es repartie, mon ange ;
Dans le ciel, avec tous les anges,
Auprès de Dieu,
Mais si loin de moi.
Oh grande à été ma douleur !!
Aujourd’hui, je sais que tu es là,
Là-haut dans le ciel
Au milieu des anges,
Et tu resteras à jamais,
Mon ange à moi,
Celui que mon cœur
N’a jamais oublié.
Nicole 18 mai 2008 (écris pour une amie)
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Par renal le 8 Avril 2008 à 18:47
Le mur
Je marchais sur le chemin,
Il faisait bon, c’était le matin,
Tout allait bien, quand soudain,
Je rencontrais un mur,
Un mur plein de trous, de cassures,
Un mur bien trop haut pour moi
Qui barrait mon chemin.
Je m’assis, et réfléchis ;
Qui a pu bâtir ce mur ici ?
Ceux qui ne m’ont pas compris ?
Ceux qui ont rejeté ce que je suis,
Celui en qui je crois, celui qui est mon ami ?
Sans que je ne sache pourquoi.
Avec mes doutes, et mes questions
Je me suis donc levé, j’ai longé le mur,
Et un peu plus loin, contre ce mur,
J’ai trouvé une échelle !!
On avait mis une échelle ici,
Pour me permettre d’avancer.
Qui ?
Ceux qui m’ont compris
Ceux qui m’ont accepté tel que je suis,
Ceux qui m’ont soutenus,
Ceux qui ont compris pourquoi je crois.
Alors je suis passée de l’autre côté,
Et j’ai pu continuer, le cœur léger,
Le chemin que j’avais choisi.
J’ai appris ce matin,
Que sur nos chemins,
On pouvait rencontrer des murs,
Mais aussi des échelles,
Que ses échelles sont toujours là,
Mais il faut vouloir les voir.
Ce chemin n’est pas facile,
Mais j’ai pour le suivre,
Un ami, qui est toujours présent
Pour me montrer que malgré les murs,
Il y a toujours une échelle !!!
Nicole
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Par renal le 10 Mars 2008 à 17:32
Dans le Marais
La barque glisse sur l’eau doucement,
Le paysage défile lentement,
On avance tranquillement.
Autour de nous, la nature, le silence.
Puis au détour d’un cours d’eau,
Paisible sur la rive, un chevreuil nous regarde,
Il ne bouge pas, calme,
Comme tout ce qui nous entoure.
La barque avance tranquillement,
Sur les différents canaux,
Aussi beau les uns que les autres.
On entend au milieu du silence,
Les cris des mésanges,
Le chant du vent, dans les grands peupliers.
Des kilomètres de canaux au milieu des arbres
Quel régal pour les yeux !
Quelle paix pour l’âme !
Malgré le froid, le soleil caresse mon visage,
Tout est si beau, si calme, si sauvage,
Je me sens si petite devant tant de beauté.
On quitte la partie sauvage du Marais,
Et devant nous, tout le long du canal,
Apparaissent des maisons,
Toutes aussi jolies les unes que les autres,
Avec devant leur porte, une petite barque.
Quand je pose mon pied sur la rive,
Il y a encore au fond de mes yeux,
Tous ces canaux, si beaux, si sauvages,
Dans mon cœur, une grande paix ;
Et malgré tout, un peu de tristesse
De devoir laisser dans ce Marais,
Tant de silence, de calme et de paix.
Que je ne suis pas prête d’oublier.
(Marais Poitevin mars 2008)
Nicole
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Par renal le 1 Février 2008 à 18:51
Les cailloux
Quand sur ta route, tu rencontres
Pleins de cailloux qui te font mal,
Quand ces cailloux font surgir de toi
Des blessures convalescentes
Que peux- tu faire ?
Enlever les cailloux un par un ?
Accepter que cela fasse mal
Et avancer coûte que coûte
Sachant que ce n’est qu’un passage ?
Que te dis ton cœur ?
Il te dit j’ai mal, très mal, aide moi !
Comment faire pour l’aider ?
Peut-être regarder d’où viennent les cailloux
Que font-ils sur ton chemin ?
Reconnaître qu’ils sont là,
Reconnaître qu’ils te font mal,
Et après, si ta Foi te le permet
Les offrir au seigneur,
Il accueille toujours les cailloux qui font mal,
Tu verras que doucement, la route s’éclairera,
Si tu le veux, tu peux y arriver,
Avec ton cœur triste, mais l’espoir
Que tout peut s’arranger.
Sur beaucoup de routes on trouve des cailloux
A nous de les dépasser.
Nicole (Janvier 08)
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Par renal le 27 Janvier 2008 à 09:29
Quel est son âge ?
Vous me demanderez quel est son âge,
Je vous dirais est-ce bien sage !
Je peux vous dire tout de même
Que quel soit son âge,
Elle a dans son cœur une grande tendresse
Elle a de belles mains remplies de caresses
Elle a dans ses yeux, pleins de rêves, plein d'espoir
Elle a une manière d'écrire les histoires
Qui vous transportent au-delà de tout âge.
Elle prend la vie comme elle est
Elle vit le présent, du mieux qu'elle le peut
Elle a sur les lèvres un tendre sourire.
Comment puis-je la décrire
Moi, qui ne l'ai jamais vu !
C'est avec mon cœur que je l'ai décrite
C'est à travers ses mails que je l'ai comprise.
C'est la profondeur de son cœur qui m'a attiré,
C'est avec la douceur de mon cœur que je veux bien l'aimer.
Un jour je la verrai avec mes yeux, en plus de mon cœur
Mais en attendant ce moment, je profite du présent
D'être là avec elle, à travers un écran.
Vous me demanderez quel est son âge,
Je vous dirais est-ce bien sage !
Je peux vous dire tout de même
Que son cœur n'a pas d'âge
Et que l'amitié ne compte pas les âges.
Nicole Janvier 2008
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