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Rappelle-toi
Rappelle-toi
Si la vie te blesse à bout portant
Ton corps geint sous la bourrasque,
L’amour te tourne le dos,
Tu vas sans repère dans la nuit qui gagne
Et le long couloir gris des jours…
Pousse ma porte : je t’offre
Le vin doux de l’amitié
Et le blé de la vie qui se lève
Contre tous les hivers du monde.
Michel Monnereau
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