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Une idée écolo par jour. (1)
Citations extraites du livre : Une idée écolo par jour.
De Janine Casevecchie
« Pour ma part, je n’ai aucune préférence parmi les fleurs ; il me suffit qu’elles soient sauvages, libres et spontanées. »
(Edward Abbey)
« Nous devons un jour parvenir à ce que la protection de la planète devienne naturelle à l’homme. »
(Jean-Louis Étienne)
« Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles. » (Christian Bobin)
« Chacun est responsable de la planète et doit la protéger à son échelle. » (Yann Arthus Bertand)
« Le vrai jardinier se découvre devant la pensées sauvage. »
(Jacques Prévert)
« La rose qui meurt de soif a besoin du jardinier, mais le jardinier a encore plus besoin de la rose qui meurt de soif : sans la soif de sa fleur, il n’existe pas. » (Amélie Nothomb)
« Il s’agit au fond de réconcilier l’homme avec la nature. De le persuader de signer un nouveau pacte avec elle, car il en sera le premier bénéficiaire. » (Jean Dorst)
« On mesure le diamètre d’un arbre. On ne mesure pas la magie d’une forêt, ni l’effet produits sur l’esprit par une forêt saine et vigoureuse, qui croît de toutes ses forces naturelles. » (Rick Bass)
« Le fruit est aveugle. C’est l’arbre qui voit. » ( René Char)
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Commentaires
Merci pour toutes ces belles citations sur la nature, Renal ! J'en connais une que j'aime beaucoup, et que j'aimerais vous offrir pour ajouter à votre collection.
Elle vient du patriarche œcuménique Bartholomée, dans son livre "Et Dieu vit que cela était bon" . ( je trouve que ce livre regorge de richesses sur le sujet, j'en ai même mis un extrait dans mon article Pourquoi manger bio : les effets positifs de l'agriculture biologique ) :
Les végétaux sont les plus sages des maîtres et le meilleur des modèles.
Car ils se tournent vers la lumière.
Ils chérissent l’air pur.
Leurs racines plongent dans les profondeurs alors que leur faîte gagne les sommets.
Ils se satisfont et se nourrissent de si peu.
Ils transforment et décuplent ce qu’ils tirent de la nature, y compris ce qui semble perdu ou inutile.
Ils s’adaptent spontanément et produisent abondamment – que ce soit pour la subsistance ou l’admiration des autres.
Ils se plaisent dans le microcosme qui est le leur tout en contribuant simultanément au macrocosme qui les entoure.