• Parce que c’était lui…

    Parce que c’était lui…

     

    A cause d’un sourire

    Ou d’une façon de parler,

    De savoir combien douce est la terre

    Et le nom des étoiles, le soir.

     

    A cause des chevaux qu’il aime sur les prairies,

    Des oiseaux dont il dit qu’ils voguent d’île en île,

    Ou du silence de la rue

    Tout emplie cependant de nos pas.

     

    Ou de raisons plus simples encore ;

    Un rien que j’aperçois

    Un rien qu’il sait mieux que moi

    Ou ce regard au moment qu’il regarde,

    Ou notre manière à nous de nous taire.

     

    Il est lui et je suis moi,

    Chacun sans raison d’être un autre,

    Ni moi pour lui, ni lui pour moi :

    Je pense à lui alors je sais qu’il pense à moi.

     

    Philippe Delaveau 

    Saint Ondras, Mai 2016 (photo Renal)


  • Commentaires

    1
    Vendredi 20 Mai 2016 à 17:05

    Un beau poème magnifiant les sentiments. J'aime beaucoup

      • Vendredi 20 Mai 2016 à 21:08

        Merci Pestoune . Il s'adresse à beaucoup de personnes. Bonne soirée.

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    2
    Lili
    Vendredi 20 Mai 2016 à 19:54

    c vraie vous aver raison je vous sui très biensmile

      • Vendredi 20 Mai 2016 à 21:09

        Merci de votre visite. Bonne soirée

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :