• « Les perles de l’école » 

    Jérôme Duhamel 

     

    Résumé : Au secours, les cancres débarquent ! 

    Aneries, bévues, boulettes, bourdes, étourderies, gaffes, Idioties, inepties, maladresses, naïvetés, sottises, sornettes et stupidités : plus de 1200 perles fraîchement sorties de la bouche (ou de la plume) d'élèves de 8 à... 18 ans et pieusement recueillies par les enseignants des écoles, des collèges et des lycées. 

    Une véritable encyclopédie de l'ignorance pour un 

    Immense éclat de rire complice. 

     

    C’est quoi l’école ? 

     

    « Quand on a moins de 18 ans, on est mineur, et c’est pour toute la vie. » 

     

    « On ne doit pas crier à la cantine pour pas balancer des bactéries dans les nourritures. » 

     

    « Les examens sont utiles pour le dépistage de l’ignorance » 

     

    « Les cahiers de textes, c’est fait pour rappeler aux profs qu’ils n’ont pas de mémoire… » 

     

    « La garderie c’est fait pour les orphelins  dont les parents travaillent tard le soir. » 

     

    L’histoire 

     

    « Nos ancêtres taillaient des solex pour faire des haches. » 

     

    « Noé est l’inventeur des inondations. » 

    « La ville de Rome a été fondée longtemps avant Jésus par les Romanichels. » 

     

    « Dans l’ancien temps, l’Italie s’appelait la Romanie… » 

     

    « Moïse était le seul homme à avoir le droit de téléphoner à Dieu. » 

     

    « Moïse a écrit la bible sur des grosses feuilles de papier en pierre. » 

     

    « La guerre de cent ans a duré de 1914 à 1918. » 

     

    « Depuis Saint Louis, tous les rois sont enterrés à la Basilique de Saint Denis à Reins. » 

     

    « Le  château de Chambord a été construit à Versailles parce que c’est plus près de Paris. » 

     

    « La Bastille était une prison où il y avait le plus grand opéra du monde. » 

     

    « Le débarquement de Normandie a eu des plages en Angleterre.. » 

     

    « La SNCF est le moyen de transport le plus sûr après le train. » 

     


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  • Passage

     

    Sur une petite route de montagne, s'avance un petit tracteur tirant une remorque. Le tracteur est vieux et poussif. Il ne va pas vite et il fait des écarts sans doute parce que sa conduite est malaisée, à moins que le chauffeur n'ait bu un coup de trop. Arrive, derrière, une voiture de sport à vive allure... une belle voiture décapotable. Son conducteur ralentit et essaie de doubler l'attelage... mais il est obligé de se rabattre. Il essaie de doubler sur la droite... mais c'est trop dangereux. On sent bien qu'il piaffe d'impatience. Finalement, à la faveur d'un élargissement de la voie, il entreprend le dépassement. Arrivé à hauteur de l'agriculteur perché sur son tracteur, il lui crie en colère en lui montrant le capot : « Eh ! dessous, il y a deux cents chevaux ! » Et il le dépasse. Mais l'automobiliste, énervé, commet une imprudence et se retrouve le nez dans le lac de Saint-Front. Le tracteur arrive alors et le paysan lui crie « Alors, on fait boire les bêtes ! »

     

     


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  • Si vous avez 35 ans et plus...

     

    Selon les bureaucrates et technocrates,
    les personnes nées dans les années 40, 50 et 60
    n'auraient pas dû survivre.

    Nos bassinettes n'étaient pas réglementaires
    et étaient peinturées de couleurs vives
    avec de la peinture contenant du plomb;
    Il n'y avait pas de "cran de sécurité"
    sur les bouteilles de médicaments,
    sur les armoires de cuisines ou les pharmacies.

    On roulait à bicyclette sans casque;
    En auto, nous, les enfants ne portaient
    ni ceinture de sécurité, ni sac gonflable;
    Assis dans une boite de camion,
    c'était un voyage fantastique.

    On buvait l'eau à même le boyau du jardin
    et non à la bouteille; et... Horreur,
    on mangeait des petits gâteaux,
    du pain et du beurre, on buvait de la liqueur
    qui contenait du vrai sucre;

    Néanmoins, on ne parlait pas d'obésité.....
    car on jouait dehors;
    On partageait la bouteille de liqueur avec 4 amis...
    Personne n'en est mort.

    On passait des heures à construire des voitures boîte de savon. 
    En descendant la côte, on avait oublié de mettre des freins.

    On quittait la maison le matin pour jouer à l'extérieur.
    Il fallait revenir avant la noirceur.

     

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  • Le petit moineau !

    C'était une nuit d'hiver très froide ! Un petit moineau avait déjà passé deux nuits dehors avec seulement un arbre comme maigre abris. Il décida qu'il ne pouvait survivre une troisième nuit ainsi. Alors il quitta son arbre pour chercher un meilleur refuge.

    Alors qu'il volait, il eut de plus en plus froid, au point que ses petites ailes gelèrent complètement et il tomba sur le sol enneigé et froid. Comme il se tenait là en train de geler, il réalisa que sa fin était proche et il pria pour que la mort vienne vite.

    Soudain, dans son état à demi-inconscient, il eut le sentiment d'être enveloppé d'une couverture chaude. Il repris conscience pour découvrir qu'une vache bienveillante avait laissé tomber sur lui un somptueux dépôt de bouse toute chaude. La chaleur lui donna un nouveau regain de vie. Le confort du lieu rendit notre petit moineau très heureux, si bien qu'il se mit à chanter.

    Un renard passant par là entendit le gazouillis, localisa le tas et s'approcha. Il retira soigneusement l'oiseau de sa bouse, l'essuya et hop ! le goba en moins de deux...

    Cette triste histoire nous enseigne une moralité pleine de gros bon sens:

    1. Ce n'est pas parce qu'on vous met dans la merde qu'on vous veut forcément du mal.
    2. Ce n'est pas parce qu'on vous sort de la merde qu'on vous veut forcément du bien.
    3. Quand vous êtes dans la merde, fermez-la !!!

     

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  • Les 12 Règles "Dors" du Club des Fatigués!

    1. Sois infatiguable au repos.
    2. Si tu vois quelqu'un qui cherche à se reposer, aide-le.
    3. Rapelle-toi que le travail est sacré, n'y touche pas.
    4. Si par hasard tu trouves du travail, avise le bureau des objets trouvés.
    5. Ce que tu peux éviter de faire, fais le faire par un autre.
    6. Si l'envie de travailler te prend, assis toi et attend que ca passe.
    7. Ne te fatigue même pas a tuer le temps, puisqu'il travail pour toi.
    8. Si par mégarde tu tues le temps, utilise le temps mort pour ne rien faire.
    9. Oublie les vieux travaux et laisse les nouveaux devenir vieux.
    10. Ne reste pas debout lorsque tu peux t'asseoir, ne reste jamais assis lorsque tu peux t'allonger.
    11. Si tu es victimes d'une farce, surtout ne marche pas, reste assis.
    12. N'écoute pas des histoires à dormir debout.

    Auteur inconnu (http://www.naute.com/blagues/)

     

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  • Sur une île déserte !

    Parti faire une croisière en solitaire autour du monde, un jeune cadre dynamique fait naufrage et échoue finalement sur une petite île perdue au milieu du Pacifique.

    Il survit pendant quatre mois dans des conditions particulièrement précaires, se nourrissant exclusivement de bananes. Un jour toutefois, il aperçoit depuis la plage une embarcation à l'intérieur de laquelle se trouve la plus jolie fille qu'il ait jamais vue.

    Il lui fait des signes et elle débarque sur la plage. Notre homme lui demande aussitôt:" Mais d'où venez-vous ? "
    Et la superbe créature lui explique: " j'habite de l'autre coté de cette île, j'ai fait naufrage moi aussi il y a maintenant trois ans..."
    L'homme: " Heureusement que vous aviez cette barque pour vous en tirer ! "
    La fille: " Non, ce canoë, je l'ai fabriqué moi-même avec les matériaux que j'ai trouvé sur l'île. "
    Le jeune cadre demande: " Mais... avec quels outils ? "
    La jeune femme explique: " J'ai découvert sur l'île un type de pierre poreuse facile à sculpter. J'ai aussi trouvé un type d'arbre dont le bois est suffisamment souple pour être malléable... En associant ces deux matériaux, j'ai pu concevoir un outillage assez performant. Vous voulez voir ? "

    Les deux naufragés font alors le tour de l'île pour débarquer devant un superbe bungalow peint en rouge et bleu. L'homme en perd presque l'équilibre.
    Il demande: " Vous avez construit ça vous même ? "
    Et l'hôtesse des lieux explique: " Oui, ce n'est pas grand chose mais c'est mon petit " chez moi "... "
    En entrant dans le bungalow, l'homme est sidéré par le décor harmonieux et tous les équipements faconnés à la main.
    La jeune femme lui propose alors de boire quelque chose mais voyant le verre qu'elle lui tend, l'homme refuse poliment: " Non, vous savez le lait de noix de coco, je ne peux plus le sentir. "
    Et la jeune femme: " Mais goutez donc, c'est du gin. J'en ai quelques bouteilles en réserve... "
    Encore une fois, l'homme n'en revient pas...
    La jeune femme dit alors: " Vous voulez prendre une douche et vous raser ? Il y a un cabinet de toilettes et un rasoir à l'étage. Pendant ce temps, je vais enfiler une tenue plus légère pour être à l'aise."
    Complètement fasciné, le jeune homme ne pose plus de questions et part se doucher.

    Un peu plus tard, la jeune femme réapparait dans un deshabillé élégant et très suggestif... Elle s'assoit sur un divan moelleux qu'elle a confectionné elle-même et invite son nouvel ami à venir s'asseoir près d'elle.

    En le regardant d'un air doux, elle lui dit alors: " Dites-moi, vous êtes seul depuis si longtemps sur cette île perdue. Je suis sûre que quelque chose pourrait vous faire un immense plaisir. Quelque chose que vous n'avez pas pu faire depuis de si longs mois et qui vous démange... "

    L'homme n'en croit pas ses oreilles et répond: " Vous voulez dire... Ne me dites pas... Je peux recevoir mes e-mails aussi ?

     

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  • L'ascenseur !

    Un petit garçon paysan et son père visitaient un centre commercial. Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu'ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s'ouvrir en deux et se refermer. Le petit garçon demanda: "C'est quoi, Père?"

    Le père, n'ayant jamais vu un ascenseur auparavant, répondit: "Fils, je n'ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c'est."

    Alors que le petit garçon et son père regardaient avec admiration, une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu'aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s'ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle.

    Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs. Ils continuèrent de regarder jusqu'à ce que les chiffres se mirent à défiler dans l'ordre inverse. Les murs s'ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 24 ans sortit.

    Le père, ne pouvant pas lever les yeux de la jeune femme, murmura à son fils: "Va chercher ta mère."

    Auteur inconnu

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  • Il fait déjà nuit.

    Tout le monde dort sauf un cambrioleur qui s'introduit
    sans bruit dans une luxueuse propriété qu'il croit vide.
    Il brise une vitre avec dextérité et se dirige tout droit vers la pièce où,
    d'après ses sources, se trouve le coffre-fort familial.

    À ce moment là, il entend derrière une voix étrange qui dit :

    -Tu devrais faire attention, Dieu et Jésus t'observent.

    -Terrifié, le cambrioleur se retourne alors et distingue dans la pénombre une cage d'oiseau avec à l'intérieur un perroquet.

    Soulagé, le personnage mal intentionné répète :
    -Alors comme ça, Dieu et Jésus me regardent ?
    -Oui, ils te regardent en ce moment..., répond le surprenant volatile.

    - Comment t'appelles-tu, réplique le cambrioleur.
    - Je m'appelle Nazareth, répond l'oiseau.

    -L'homme éclate de rire et dit :
    - Quel nom ridicule, quel est l'idiot qui a pu te donner un nom pareil ?

    -Et le perroquet répond :
    - C'est le même idiot qui a baptisé son pitbull Dieu et son rottweiler
    Jésus.

    la traversée (35)

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  • un Maghrébin âgé, qui vit depuis 40 ans dans l’Idaho (Etats-Unis), voulait cultiver des pommes de terre dans son jardin, mais labourer la terre était trop difficile pour son âge. Son fils unique, Ali, étudiait en France, donc il décida de lui envoyer un e-mail afin de lui expliquer la situation :

    "Cher Ali, Je suis très malheureux parce que cette année je ne pourrais pas planter mes pommes de terre dans mon jardin. Je suis trop vieux pour retourner la terre seul. J’espère que tu pourras venir et que mon problème sera résolu, parce que tu le feras pour moi.

    Je t’aime. Ton père"

    "Cher père, Que Dieu nous préserve ! NE RETOURNE SURTOUT PAS la terre de ce jardin !!! C’est la que j’ai caché "tu sais quoi". Je t’aime Ali"

    A 4h00 du matin le lendemain, la police locale, le FBI et des agents de la CIA accompagnés d’une délégation du Pentagone, sont arrivés et ont retournés complètement le jardin à la recherche de matières dangereuses pouvant servir à la fabrication de bombes, d’anthrax ou n’importe quoi.

    Ils n’ont rien trouvé et sont repartis.

    Le jour même, le vieil homme reçut un autre e-mail de son fils :

    "Cher père, Je suis sûr que maintenant tu peux planter tes pommes de terre. C’est le mieux que je puisse faire dans les circonstances actuelles. Je t’aime. Ali"

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  • Prénom : Formidable

    M. et Mme Machin souhaitaient tendrement avoir des enfants, mais les années passaient sans que leur souhait se réalisât. Puis, alors qu’ils avaient quasiment perdu tout espoir, Mme Machin fut enceinte, et donna en temps voulu naissance à un petit garçon.

    La joie des parents fut indescriptible, et ils voulaient que le prénom de l’enfant reflétât et glorifiât cette bénédiction. Après maintes recherches et délibérations, ils décidèrent finalement de l’appeler Formidable.

    Il s’avéra cependant que ce nom excentrique était pour le moins mal choisi puisque le garçon restait chétif et de petite taille. Et, même adulte, il continua à être constamment la cible de plaisanteries d’une invariable bêtise, toutes inspirées de la contradiction manifeste entre son prénom et son apparence physique.

    M. Machin souffrait en silence, mais, sur son lit de mort, il dit à sa femme : "Toute ma vie j’ai supporté ce prénom idiot, je ne veux pas qu’il soit perpétué sur ma tombe. Ecris dessus ce que tu voudras, mais ne mentionne pas mon nom." La femme promit de respecter sa volonté, il mourut, et, dans la mesure où leur mariage n’avait effectivement été qu’affection et harmonie, elle commanda une pierre tombale sur laquelle était inscrit : "Ci-gît un homme qui fut toujours prévenant et fidèle envers sa femme."

    Et tout ceux qui, en passant devant sa tombe lisaient l’inscription ne manquaient pas de remarquer : "Tiens, c’est formidable."

    Extrait de "Comment réussir à échouer" de Paul Watzlawick

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