• Extraits du livre de François Garagnon

    « La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. »

     

     

    L’amour ne se prouve pas, il s’éprouve. Gide a eu un jour cette phrase insolite : « J’aime ceux qui ne savent pas trop pourquoi ils s’aiment, c’est qu’alors, ils aiment vraiment. »

     

    On mesure la puissance de l’amour à sa capacité de transformation.

     

    Il faut se rappeler comment votre amour nous à crées, comment il a changé le sens et la  saveur de votre vie, comment vous vous êtes découverts l’un et l’autre pour la première fois. Alors, vous saurez que vous êtes capables de renaître indéfiniment.

     

    Le mariage est un long travail. Le mariage n’est pas tellement fait pour être heureux, mais pour vous tirer du cœur tout l’amour dont vous êtes capables. La relation personnelle est inévitable, indispensable, mais combien difficile, périlleuse, fragile, menacée ! Cessez de rêver aux grandes vacances conjugales : elles n’existent pas.

     

    Quelle est la vraie morale ?

    De s’aimer par devoir, parce que l’on s’est juré fidélité ?

    Ou d’être fidèle par ce que l’on s’aime authentiquement ?

    La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour.(8)

    Photo Renal

     


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  • Extraits du livre de François Garagnon

    « La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. »

     

     

    L’ennemie de l’amour, c’est l’amour propre. (Jacques de Bourbon Busset)

     

    Le bien n’est pas d’abord quelque chose à faire, mais quelqu’un à aimer. (Maurice Zundel.)

     

    Celui qui aime est capable de dire des mots d’encouragement qui réconfortent, qui fortifient, qui consolent, qui stimulent.

    (Pape François).

     

    L’amour, dans son authenticité et sa vigueur, n’est pas seulement une émotion, c’est un projet de vie. Il n’est pas seulement saveur de l’instant mais projection vers l’avenir.

     

    Le mariage n’est pas seulement une fête, c’est l’union scellée entre deux destinées et, s’il est célébré à l’Église, un sacrement.

     

    La navigation au long cours d’une union durable ne se poursuivra que si les époux sont assez lucides et actifs pour n’avoir jamais finis de se découvrir.

    La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. (7)Photo Renal 


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  • Extraits du livre de François Garagnon

    « La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. »

     

     

    L’autre n’est pas « quelqu’un parmi d’autres ». Il devient notre trésor, notre dynamique de vie, notre principe d’unité et, jusque dans ses défauts, notre incomparable valeur ajoutée !

     

     

    Attardons-nous un peu sur ce tragique quiproquo :Vivre dans l’instant, c’est ne pas se soucier des lendemains, profiter au maximum de ce qui s’offre à nous en assumant une forme d’insouciance qui ne veut pas s’attarder aux conséquences demain d’un comportement aujourd’hui. Il plane toujours l’ombre du souci de soi. Vivre l’instant est presque une attitude opposée : cela consiste à savourer chaque instant, avec une attention optimale et un sentiment de gratitude, mais contrairement à l’insouciance, là il s’agit d’être plutôt hyper conscient de ce et de ceux qui nous entourent. Il règne toujours la lumière du don de soi.

     

    Un grand rêve porté par un grand amour, se réalise toujours, d’une façon ou d’une autre. (Père Pierre Ceyrac)

     

    La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. (6)

    Photo Renal



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  • Extraits du livre de François Garagnon

    « La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. »

     

     

    Chaque couple repose sur une insondable alchimie, mais l'on remarquera que c'est la prodigalité du cœur, la capacité d'écoute et d'empathie avec l'autre, la volonté de partager tout - bonheurs comme épreuves -, l'exigence presque naturelle de la fidélité,  et la projection vers un avenir commun (dans l'acceptation des métamorphoses de l'un comme de l'autre) qui font que deux êtres sont fortifiés dans leur proximité, aguerris face aux épreuves et a priori liés l'un à l’autre pour toujours.

     

     

    Être pleinement soi, ce n’est pas être plein de soi, mais être plein de l’autre. Et donc aimer en vérité. Seul l’amour de don, de partage, d’attention, d’émerveillement mutuel permet l’accomplissement de soi et ouvre au sentiment de plénitude.

     

     

    Ce qui nous lie, c’est aussi ce qui nous relie, à l’autre, aux autres, au monde, à la vie, à notre destinée. Et  le sens de notre vie naît de cette manière d’être relié à ce qui  nous entoure. La valeur de notre existence tient beaucoup à la qualité, à la vitalité, à la finesse et à la stabilité des liens.

    photo Renal

     


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  • Extraits du livre de François Garagnon

    « La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. »

     

     

    Ce qui nous lie nous contraint à certains égards, mais c’est aussi ce qui nous libère.

     

    Aimer véritablement, c’est ne pas chercher à comprendre c'est-à-dire être proprement dépassé. Aborder l’indicible avec au cœur la force d’une évidence cachée.

     

    Le foyer évoque la chaleur de l'âtre, l'endroit de la maison où l'on se rapproche, où l'on se réchauffe, où l'on savoure le bonheur d'être ensemble, où l'on se rassure et se console, où l'on goûte une sérénité. Il correspond à l'ancrage de la maisonnée, où l'on vit, où l'on rit, où l'on se dispute, où l'on partage, où des enfants naissent et grandissent, où l'on construit des projets, où l'on se réfugie des âpretés du dehors. Car l'image de la maison permet de distinguer le dehors et le dedans. Rentrer chez soi, c'est aussi rentrer en soi, rallier une intimité, une humanité, une manière d'être dépourvue d'artifices de maquillages et d'apparat, où l'on est accepté tel que l'on est - que l'on apparaisse en tenue de soirée ou en peignoir. L'intérieur évoque l'intériorité, là  où l'on rejoint l'essentiel, la vérité nue.

     

    La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. (4)

    Photo Renal Juillet 2019


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  • Extraits du livre de François Garagnon

    « La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. »

     

     

    L’amour est surgissement de l’imprévisible. Les anciennes générations désignaient le fiancé ou la fiancée de la sorte : « mon promis » ou « ma promise » comme s’il s’agissait d’une personne réservée par la destinée, avant même que le libre-arbitre de chacun ne conduise à un engagement formel.

     

    Pour inventer une histoire nouvelle, il faut abandonner les familiarités anciennes. Quitter le pays du MOI et s’arracher à ses veilles habitudes pour aborder les terres inconnues du  NOUS.

     

    Ce qui maintient une relation d’amour vivante, c’est la faculté de créer sans cesse du nouveau, c'est-à-dire de renouveler constamment le regard que nous portons sur l’être aimé, de rafraîchir notre perception en redoublant d’attention, en nous tenant dans l’inaugural des « premières fois » par le pouvoir transfigurateur de l’esprit d’enfance dont le principe premier est l’émerveillement.

     

    « La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. (3)

    Photo Renal, juillet 2019


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  • Extraits du livre de François Garagnon

    « La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. »

     

     

     

    L’amour est incommensurable, inépuisable, illimité. L’amour seul nous permet de passer de quelque chose à quelqu’un, de ne retenir que le pur au tamis de notre cœur. Il mêle le doux et le douloureux, la joie et la gravité, la légèreté et la profondeur. L’amour est la plus grande aventure de notre vie, c’est l’aventure de toute une vie.

     

    On n’a qu’une vie. On veut tous la déployer pleinement s’accomplir, l’utiliser de la meilleure façon.  Or il n’y a pas de mode d’emploi pour l’usage du monde ! On improvise donc. Et bien sûr, on pense que c’est nous qui fabriquons nos occasions de bonheur, nous qui  posons les grands choix de notre vie. Ce qui est vrai, mais très partiellement toutefois. En effet, qui oserait contester, par l’expérience, que certaines rencontres adviennent parce qu’ils nous étaient destinés et qu’il ne pouvait en être autrement ? Il n’est plus alors question de choix véritablement, mais du consentement à une réalité qui nous dépasse, d’une simple docilité au mouvement même de la vie.

     

    La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. (2)

    Photo Renal

     


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  • Extraits du livre de François Garagnon

    « La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. »

     

     

    Ce livre rassemble plusieurs thématiques complémentaires antérieurement présentées sous forme de petits Carnets de réflexion sur la vie spirituelle.

          Engagement sentimental

          Le mariage

          La famille

          Les crises relationnelles

          L’amour durable

          Du désir d’aimer à la grâce de se sentir aimé.

     

     

    Cette chose éternellement fragile, infiniment sensible, qui fait tout à la fois notre crainte et notre bonheur.

    Cette chose qui échappe à notre volonté et fuit lorsqu’on cherche à l’expliquer.

    Cette chose qui nous attend là où on ne l’attend pas, qui nous lie et nous libère, qui donne du poids à notre existence tout en nous rendant plus aérien.

    Cette chose qui nous dépasse et qui nous donne l’occasion de nous dépasser.

    Cette chose extraordinaire douce et violente à la fois, qui a le pouvoir d’enfanter comme celui de détruire.

    Cette chose qui est la clé de nos portes fermées, la fenêtre qui donne sur un coin d’éternité.

    Cette chose sans laquelle la vie ne serait pas la vie.

    Cette chose si imparfaite et si belle cependant.

    Cette chose sur laquelle on se trompe tant et tant, en dramatisant certains instants, et en prenant avec légèreté d’autres, sensibles, graves ou suppliante.

    Cette chose pure que la vie meurtrit par la simple usure du temps, par le simple passage des jours qui laisse des traces d’habitude et de solitude.

    Cette chose si attachante pourtant, à laquelle quoi qu’il advienne il n’est pas possible de vivre sans continuer d’y croire encore et encore.

    Cette chose parfaitement invisible et si magnifiquement présente.

    Oui cette chose qui rime avec toujours et qu’on appelle  L’AMOUR.

                         

    (Extrait du livre le Bel Amour et de Sainte Espérance.)

     

     La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour ( l'Amour)

    Photo Chacra juin 2019


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

     

    De Stéphane Garnier

     

     

    Conclusion

     

    Le chat a toujours le dernier mot !

     

    Pas bien malin par moments mon maître, un vrai boulet même parfois ! Chat me fatigue ! Mais je l’aime bien, plus de douze ans de vie commune, ce n’est pas encore gagné, mais il a fait des progrès ! J’espère que les clefs de vie qu’il vous a fait partager sauront vous aider à vivre mieux dans votre quotidien, à être heureux surtout !

    Il est d’autres secrets que j’aurais aimé lui transmettre afin qu'il serve de relais auprès de vous, mais il a encore parfois l’œil qui s’égare et l’oreille qui n’entend pas tout. Pourtant, tout est là, devant nous, devant vous.

    La différence entre vous et nous, chats, c’est que nous voyons tout.

    Depuis les temps anciens de l’Égypte, et même auparavant, à nos jours, nous avons accompagné la vie de l'homme pour l’aider, jusqu’à être vénérés pour notre sagesse, aujourd’hui un peu oubliée.

    J’espère que cet ouvrage saura vous aider, pour que votre vue s’éclaircisse un peu plus chaque jour.

    Je vous souhaite, chers humains, le meilleur et un plus dans votre vie auprès de nous. »

     

    ZIGGY  Fin

     

    Agir et penser comme un chat

    Minette, est montée au pays des chats il y 1 mois.


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

     

    Le chat est à l’aise en toute situation.

     

    C’est avant tout ce que nous avons nous-même construit un peu artificiellement, qui est à la source de ce sentiment d’être mal à l’aise parfois.

    Risque-t-on à cet instant là d’être « découvert » ? De ne pas être à la hauteur de ce que l’on a raconté, revendiqué, et qui fait partie de l’image qu’ont les autres de nous ?

    On se sent mal à l’aise quand on se retrouve au pied du mur, entre ce que l’on a dit et ce que l’on fait ou ce que l’on est. Et plus les mensonges sont grands, plus le grand écart à faire entre les deux s’étend, et plus le sentiment de malaise grandit. C’est vous dire l’état psychologique dans lequel se retrouvent les grands mythomanes qui nous entourent, quand nous finissons par les percer à jour !

    On se sent mal à l’aise également quand on ne se sent pas à la hauteur. Cela relève plus de la confiance en soi, mais comme nous l’avons vu, être sûr, croire en soi, se cultive quand ce n’est pas naturel. Et le chat est là pour vous guider, vous aider tout au long de cet apprentissage.

    Pour être à l’aise en toute situation, faut-il encore savoir être honnête avec soi-même autant qu’avec les autres, ne pas trop s’attacher à l’image que l’on transporte auprès d’eux, puisqu’elle ne peut être que positive lorsque l’on suit les règles du chat !

     

    Agir et penser comme un chat


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

     

    Le chat sait s’amuser de tout.

     

    Savoir s’amuser est une condition essentielle au bonheur. Les personnes trop sérieuses, figées dans des considérations lunaires dont elles ne redescendent jamais, se retrouvent parfois incapables de savoir jouer, s’amuser, rire ; elles sont comme presque handicapées du sourire. Savoir rire, rire de tout surtout,  savoir ne pas se prendre au sérieux, savoir redescendre de sa sphère, de son piédestal social quand parfois on entend :

    « Tu comprends, dans la position où je suis, je ne peux pas me le permettre... »

    Image sociale, image de soi, faux-semblants cultivés, « paraître » comme nous l’avons vu plus avant... Tout ce qui empêche au final de s’amuser, de rire, ce propre de l’homme que parfois l’on cultive à devoir l’oublier.

     

     Agir et penser comme un chat (17)



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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

    Le chat est humble et indulgent

     

    Nous avons tous tendance à placer parfois la barre un peu haut, à être dur envers nous-même, à la limite par moments de l’autoflagellation ! Être ambitieux, oui, donner le meilleur de soi-même, oui, mais savoir être indulgent vis-à-vis de soi en cas de défaite est tout aussi important. Si vous avez été honnête et que vous avez donné votre maximum dans un travail, un projet, personne ne vous a demandé pour autant d’exceller en tout, à tout instant, au point de vous en rendre malade !

    Un peu d’humilité, un peu d’acceptation, ce qui n’empêche pas d’être fier de ce que nous sommes et de ce que nous faisons ! Faut-il s’arrêter de chanter quand on n’est pas Freddie Mercury ? Faut-il s’arrêter de peindre quand on n’est pas Cézanne ? Est-on moins bon pour autant ? Ou juste différent ?

    Faire au mieux avec ce que l’on a et continuer à progresser.

     

    Agir et penser comme un chat (16)

    Photo Renal


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

    Le chat est silencieux et observateur.

     

    Apprendre à se taire, c’est contrôler son impulsivité, c’est éviter de dire parfois des bêtises, c’est aussi réfléchir et soupeser sa réflexion en tenant compte de différents éléments... C’est aussi écouter ce que les autres ont à dire et ne pas monopoliser une conversation... C’est ne pas imposer son avis comme une vérité absolue et définitive...

    Apprendre à se taire, c’est préserver également un peu de recul, un peu de secret dans nos vies. Être sincère, oui, mais être transparent à tout propos, tout le temps et avec n’importe qui n’est peut-être pas la meilleure démarche pour se protéger des plus médisants.

    S’exprimer ne veut pas dire s’étaler et, si l’échange est nécessaire, l’observation et l’écoute sont parfois aussi convaincantes que tous les argumentaires !

    Apprendre à se taire, apprendre à ne plus être à chaque seconde le centre du monde par ce biais. Écouter pour apprendre et savoir se taire pour mieux dire par moments.

     

    Agir et penser comme un chat (15)

     


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

     

    Le chat ose demander (tout le temps)

     

    Comme nous venons de le voir dans le chapitre précédent, une fois les envies clairement identifiées, formulées et exprimées, il arrive que pour agir nous ayons besoin d’un levier, d’un déclencheur, d’un peu d’aide.

    Souvent nous n’osons pas demander d’aide dans notre travail, ou si l’on a des soucis dans notre vie personnelle. Pour quelles raisons ? Un peu de honte, un peu de crainte de voir cette aide refusée, quelques réticences à se dévoiler, à demander, avec presque ce sentiment de quémander... Encore plus de honte quand on a de sérieux problèmes d’argent... On ne demande pas d’aide par fierté, orgueil mal placé également.

     

    Le chat, lui, demande, réclame quand il a faim, veut aller se promener ou a envie d’un câlin. Même lorsque vous dormez, il n’a pas de gêne à venir vous réveiller pour répondre à ses envies du moment.

    Sur ce sujet également, nous avons tout à gagner à demander de l’aide autour de nous quand on en a besoin. Et le plus étonnant, c’est qu’il y a toujours quelqu’un qui serait ravi de vous aider... si tant est que vous lui ayez demandé.

     

    Osez demandé de l’aide ! Certaines personnes seront ravies de vous épauler, car ainsi vous les valoriserez.


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

     

    Vous dites souvent - nous vous entendons - que nous sommes de gros feignants à dormir ainsi toute la journée.

    D’une part, sachez que même si nous dormons quelques heures en début de soirée, nous préférons vivre la nuit, à l’inverse de vous. Vous ne vous en rendez pas compte, puisque vous dormez !

    D’autre part, si nous dormons autant la journée, c'est lié à vous, car ces phases de sommeil nous permettent de nous délivrer de toutes les mauvaises ondes, pensées, vibrations que nous avons aspirées en vous pour vous soulager. Nous ne pouvons pas les garder, nous devons

    nous aussi nous nettoyer l’esprit et l’âme, notre sommeil sert à cela.

    Sachez d’ailleurs que nous pouvons prendre sur nous les mauvaises humeurs de plusieurs membres de votre famille, nous savons vous apaiser un à un, mais notre sommeil récupérateur n’en sera que plus long. Si vous avez eu la bonne idée de prendre un couple de chat dès leur naissance, ils pourront se partager cette tâche au sein de la famille. Par contre ne nous collez pas un chaton dans les pattes quand on est déjà bien installé, il risque d’y avoir de la casse dans la maison, croyez-moi ! »

    ZIGGY

     

    Agir et penser comme un chat (13)


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

     

    Le chat accorde sa confiance

     

    Dès l’instant où un chat vous aura choisi comme compagnon de vie, il vous accordera une confiance pleine et entière, presque aveugle. Quand par exemple vous le caressez, il arrive qu’il se mette sur le dos. Jamais un chat ne se met dans cette position naturellement (à part dans son cocon où il se sait en parfaite sécurité), car ainsi il est beaucoup trop vulnérable, et il aura beaucoup de difficultés à s’enfuir ou à se défendre. Et pourtant, de câlin en câlin, de baisers en gestes d’affection, il saura se mettre sur vous ou à côté de vous, dans les positions les plus improbables pour se faire câliner encore et encore, jouer, et se faire gratter le ventre. Il vous fait  confiance !

    Cette confiance absolue se démontre de différentes manières mais certains comportements sont des indicateurs flagrants.

    Quelle confiance accordons-nous aux autres... Jusqu’à quel degré ?

    Il arrive souvent qu’à la suite de déceptions sentimentales, qu’elles soient amoureuses ou amicales, nous ayons du mal à refaire confiance. On pourra croire l’autre, mais on restera toujours en vigilance, attentif au moindre signe que l’on pourra interpréter de la mauvaise façon (souvent) comme un faux pas à venir, ou un petit mensonge en attente. Cette attitude suspicieuse peut réellement nous desservir dans notre vie. Comment en effet être heureux en vivant sans arrêt dans la crainte, dans la peur d’être à un moment trahi par l’autre ? Impossible. Il n’est pas d’autre issue pour retrouver sérénité et joie de vivre que d’apprendre à nouveau à faire confiance, presque comme je le disais pour le chat : aveuglément. Mais comme lui, avant tout, il ne faut pas placer cette confiance en n’importe qui, ni ouvrir en grand la porte de ses sentiments et de sa vie en quelques instants.

    Suivez votre instinct avec les personnes que vous rencontrez, il ne vous trompera jamais... Dès l’instant où vous sentirez que vous avez rencontré la bonne personne, que ce soit en amour ou en amitié, alors ne vous fermez pas au bonheur en restant dans une posture de peur et de défiance. Ouvrez les vannes de votre cœur, lâchez prise et faites confiance. Vous n’aurez pas d’autre choix, pas d’autre voie possible à emprunter, pour vivre cette chance de bonheur pleinement.

     

    Agir et penser comme un chat (12)


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

     

    Le chat saint dire non

    (et il ne s’en prive pas)

     

    Apprendre à dire « non », voilà ce que nous pouvons prendre comme exemple sur le chat. Quand nous voulions dire « non » que ce soit pour un petit service, devenu une habitude dont vous ne pouvez plus vous défaire par la suite, que ce soit pour une surcharge de travail en dehors de votre mission, qui finit par devenir un acquis auprès des supérieurs et des collègues dans l’entreprise, sans pour autant en tirer la compensation financière qui va avec... Non !

    Apprendre à dire « non » de temps à temps à vos enfants, à votre conjoint, à votre patron, à vos amis, non par pur égoïsme, mais pour préserver votre liberté d’action, votre temps. Car à force de dire « oui » à tout, tout le temps, à tout le monde, que vous reste-t-il comme temps pour vous, pour accomplir vos tâches comme pour assouvir vos plaisirs ?

    Apprendre à dire « non », c’est savoir préserver votre temps, votre capacité d’action, votre vie, mais c’est aussi savoir vous faire respecter par cet entourage qui parfois, devant cette incapacité à dire « non », saura en tirer injustement parti.

    Il faut rétablir la balance entre les ordres et les petits services. Aucun d’entre nous n’a à être au service permanent des autres.

     

    Agir et penser comme un chat (11)


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

     

    Le chat aime le calme.

     

    « Foutez-moi la paix ! Du silence ! Du calme ! De l’air ! »Voilà ce qu’on rêve tous de dire par moments.

    Nous sommes pris à longueur de temps dans le tourbillon du bruit, des Klaxons, du stress, des portes du métro qui se referment, des sonneries de téléphone, des alertes de planning, des rendez-vous, des e-mails... mouvement incessant, bruyant qui use les nerfs.

     

    Le calme ressource le chat, il l’aime, le chérit, le recherche. Le calme extérieur nourrit son calme intérieur. Pourquoi ne pas essayer de prendre quelques instants chaque jour pour  vous baigner dans le calme absolu, dans le silence. N’écouter que vous, votre voix intérieure, votre cœur qui bat...

     

    Agrandir ainsi votre paix intérieure, la cultiver et l’entretenir chaque jour pour retrouver votre calme extérieur... Vivre mieux, simplement.

    Faites comme le chat, dès que l’occasion se présente, recherchez un peu de calme. Et si l’environnement ne s’y prête pas, faites comme lui également : partez vous isoler sans rien dire, dans un endroit que vous seul connaissez ! Et ne revenez qu’une fois votre besoin de calme assouvi, votre réserve d’énergie reconstituée.

     

    On peut supporter tout le bruit du monde tant qu’il ne nous est pas imposé par la contrainte, tant qu’il ne vient pas empiéter sur notre calme intérieur pour alimenter un stress inutile

    Créer vos conditions de calme régulièrement, c’est créer les conditions de votre bien-être,

    et la meilleure solution pour éviter les ulcères.

     

    Agir et penser comme un chat (10)


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

     

    Le chat sait prendre le temps de vivre

     

    Prendre le temps de vivre, c’est à l’inverse prendre conscience de chaque instant qui passe, de le prendre en considération ; de se l’approprier, pour mieux s’y baigner, et en jouir jusque dans la moindre fraction de seconde...

    Prendre le temps de vivre, c’est savoir profiter pleinement de la vie, et non pas d’y cumuler dans un planning fractionné à la minute tout ce qu’il « faut avoir fait », tout ce qu’il « faut avoir vu », « tout ce qu’il  faut avoir visité »... Même les vacances sont devenues pour certains une course exténuante et chronométrée pire qu’une semaine de travail !

    Débrayez, posez-vous, observez... Imitez votre chat, et sentez revenir en vous un peu de sérénité...

     

    vous connaissez l’adage :

    « vous avez bien pris le temps de naître, prenez le temps de mourir » et pour cela faites comme le chat : prenez le temps de vivre !

     

    Agir et penser comme un chat (9)


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  • Extraits du livre « Agir et penser comme un chat »

    De Stéphane Garnier

     

     

    Le chat a confiance en lui

     

    La confiance en soi relève autant de l’acceptation de ce que l’on est réellement, comme nous l’avons abordé, que de la fierté de ce que nous sommes, à la mesure de nos talents ou de notre système de valeurs.

    La confiance en soi, c’est par exemple pour le chat de venir spontanément vers nous en se disant : « je sais que tu m’aimes », et non pas : « m’aimes-tu encore aujourd’hui ? ».

    Par voie de conséquence, cette certitude qu’il a fait aussi partie de son aura, de son charisme, de son charme, de sa beauté, du simple fait que nous l’aimons.

    Beaucoup trop de gens souffrent de cette carence de confiance en eux, quand d’autres en débordent, parfois sans raison. Oui, il faut s’aimer pour avoir confiance en soi, il faut être suffisamment indépendant, entier, s’être affranchi du « qu’en-dira-t-on ? », etc. La confiance en soi n’est pas un concept jeté en l’air, mais un apprentissage, une somme de forces que possède le chat, des capacités à intégrer une à une, qui permettent de faire et de vivre mieux chaque jour.

    Les gens qui ont confiance en eux sont « au centre de l’attention », « libre », et « charismatique »... Ils sont heureux souvent pour beaucoup, mais ont su cultiver tous les paramètres qui permettent de développer au fil du temps cette confiance en eux. Copiez le chat en ce domaine, vous serez vous.

    « Ayez confiance en vous ! »,  serait une phrase facile pour ce type d’ouvrage, mais je peux vous promettre que cultiver les différents aspects qui la forgent, comme le fait le chat, vous offrira des joies et des victoires dans votre vie, ce qui la fera naître en vous naturellement.

     

    Agir et penser comme un chat  (8)


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